Procès Johnny Depp : l’acteur apparaît le visage tuméfié sur une photo
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Depuis le 11 avril, Amber Heard et Johnny Depp s’affrontent dans le cadre d’un procès particulièrement médiatisé. Les deux anciens époux s’accusent mutuellement de diffamation. Ce jeudi 28 avril, l’ancien garde du corps de l’acteur a témoigné et a dévoilé une photo de l’interprète de Jack Sparrow, le visage tuméfié.
Le garde du corps de Johnny Depp témoigne
Le procès en diffamation qui oppose Johnny Depp à Amber Heard continue. Ce jeudi 28 avril, c’est l’ancien garde du corps de l’acteur qui était appelé à témoigner. Malcom Connolly était son garde du corps depuis 2006 et a donc suivi de près l’histoire d’amour de son client avec son ex-femme qui souffrirait de troubles de la personnalité.
« Au début, ça roucoulait. Tout était super. C’était la période de lune de miel et oui ça se passait bien » , a témoigné l’homme par visioconférence. « C’était génial de voir Johnny heureux à nouveau. Amber était adorable, charmante – comme elle l’est toujours – et aimable » , se souvient l’ancien garde du corps de Johnny Depp.
Malheureusement, cette situation n’a pas duré. « Amber a commencé à changer. Elle a commencé à devenir un peu plus fougueuse, exigeante. Je pouvais voir qu’Amber voulait porter la culotte dans cette relation. C’était assez évident » , explique-t-il.
Une photo de l’acteur blessé au visage dévoilée
Alors qu’Amber Heard devenait de plus en plus froide, Johnny Depp se renfermait sur lui-même. Le garde du corps indique n’avoir jamais été témoin de violences physiques. En revanche, il a entendu des disputes : « J’entendais Amber crier. Je pouvais entendre des cris et des braillements » .
Surtout, le garde du corps aurait remarqué des égratignures et des blessures sur le visage de Johnny Depp. Pour appuyer ses propos, il a montré une photo de l’acteur au côté d’Amber Heard en 2013. L’ex de Vanessa Paradis apparaît le visage tuméfié.
« Il pouvait y avoir des égratignures sur son cou. Peut-être un coin de lèvre gonflé, une ecchymose dans l’orbite. Cela devenait plus régulier. Pas toutes les semaines, mais cela se produisait pour sûr » , témoigne Malcom Connolly.
