« Un geste qui m’a échappé » : Adrien Quatennens s’exprime après la gifle donnée à sa femme (vidéo)
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Ce mardi 13 décembre, Adrien Quatennens a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour des faits de « violence » sur son épouse ». Le 14 décembre, il a accordé une interview à BFMTV dans laquelle il réagit à sa condamnation. Le député assure qu’il n’est pas un agresseur comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous :
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Adrien Quatennens condamné à de la prison avec sursis
C’est une affaire qui embarrasse La France insoumise depuis plusieurs mois. Pour rappel, en septembre, Adrien Quatennens avait reconnu publiquement avoir giflé sa femme un an plus tôt. Le député a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour violences sur son épouse.
Adrien Quatennens devra également verser à sa future ex-épouse 2 000 euros pour le préjudice morale. Après la sanction juridique, c’est au tour de la sanction politique de tomber : le député LFI a été radié de son groupe à l’Assemblée nationale pour 4 mois.
Ce mercredi 14 décembre, il a répondu aux questions de Bruce Toussaint sur BFMTV. « Peut-on considérer qu’une faute caractérise un homme ou puisse le résumer ? » questionne alors Adrien Quatennens. Le député LFI assure que « la violence n’a jamais caractérisé cette relation ».
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Le député réagit à sa condamnation
Adrien Quatennens s’est une nouvelle fois expliqué au sujet de la gifle donnée à sa femme. Ce geste violent aurait eu lieu lors d’une dispute avec son épouse, Céline Quatennens. Durant un échange violent, il a levé la main sur sa femme, « un geste qui m’a échappé » confie le député.
Le proche de Jean-Luc Mélenchon assure avoir aussitôt regretté son geste. Adrien Quatennens assure qu’il n’est pas un agresseur malgré sa condamnation. « Je ne suis pas un agresseur parce que j’ai reconnu une gifle […] que je regrette toujours » se défend-il.
« Si j’avais été un homme qui battait sa femme, on n’en serait pas aux mêmes proportions » ajoute le député LFI. Ce dernier assure que c’est une erreur de le prendre pour cible. Concernant sa peine, Adrien Quatennens la juge sévère, mais il a « choisi de l’accepter ».
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