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Cette mère de famille a été refusée à la fête de Noël de l’école de son enfant à cause de son apparence

Publié par Celine Spectra le 24 Déc 2022 à 12:09

Melissa, une mère de famille de 45 ans, n’a malheureusement pas pu assister à la fête de Noël à l’école de son enfant. En effet, selon l’établissement, son apparence aurait pu effrayer les enfants. Pourtant, elle ne possède aucun de ces 15 tatouages de détenus, aux codes terrifiants dans le milieu carcéral.

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Une mère de famille refusée d’accès à la fête de l’école à cause de ses tatouages

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Alors qu’un homme, accusé de vi*l, et qui a simulé sa mort, a été retrouvé grâce à ses tatouages, les fêtes de fin d’année ne s’annoncent pas de la meilleure des façons pour Melissa Sloan. En effet, cette mère de famille a raconté avoir été recalée du spectacle de Noël de l’école de ses enfants. Selon les professeurs, l’accès lui aurait été refusé à cause de ses tatouages.

Il faut dire que la jeune femme est accro aux tatouages et se fait d’ailleurs tatouer trois fois par semaine. Et désormais, elle a près de 800 tatouages sur tout le corps, y compris la tête. Et cela ne passe visiblement pas auprès des responsables de l’école.

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Ils ne savaient pas que ses tatouages étaient une thérapie

Alors que cette jeune femme n’arrive toujours pas à retirer ce tatouage éphémère de squelette qu’elle a fait pour Halloween ; l’apparence particulière de Mélissa lui pose également un problème pour trouver un travail.

Mais en mai dernier, la mère de famille avait révélé que ses tatouages étaient un moyen de faire face aux violences qu’elle avait subies pendant l’enfance. Et à l’époque, son bourreau n’était d’autres que son frère aîné.

Selon la jeune femme, ses tatouages l’aideraient donc à couvrir les cicatrices émotionnelles que son frère Gavin a laissées derrière lui.

« Ils sont comme un masque et je me cache derrière eux. À présent qu’il est enfin en prison, je peux commencer à me sentir libre. Les tatouages ont été pour moi très thérapeutiques. Ils ont été une façon de faire abstraction du passé, ainsi que des abus. »

Peut-être que l’école aurait changé sa vision des choses. Si elle avait eu vent du drame vécu par la mère de famille.

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