« Ça m’a pesé » : quel est ce mal-être dont a longtemps souffert Gad Elmaleh ?
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Aujourd’hui, Gad Elmaleh n’a plus rien à prouver. Sur les planches du stand-up comme derrière l’écran d’une caméra, l’humoriste et acteur a connu des succès qui lui permettent aujourd’hui de jouir d’une notoriété en France… comme à l’international. Pourtant, il a récemment confié qu’il avait longtemps souffert d’un mal-être l’ayant constamment forcé à prouver qu’il était légitime. Il appelle ça lui-même : « le syndrome du blédard ».
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Gad Elmaleh condamné à prouver
Un succès sans nom dans sa première vie d’humoriste, et un talent inné pour le cinéma. Lui, c’est Gad Elmaleh ! Connu de tous les Français aujourd’hui, il a beaucoup travaillé pour parvenir à devenir l’un des acteurs les plus connus du paysage cinématographique français. Tant dans des comédies, telles que « La vérité si je mens », que dans des films dramatiques comme « La Rafle », il a su montrer qu’il avait toutes les compétences pour parvenir à répondre aux attentes des réalisateurs.
Néanmoins, Gad Elmaleh a longtemps souffert, durant toute sa carrière, d’un mal-être qu’il explique s’être lui-même infligé. « Moi, je suis obligé de faire des films. Le stress qu’on se fait, on se le fait tout seul », a-t-il ainsi commencé par expliquer au sujet de la pression qu’il a pu se mettre durant toutes ces années. Pour lui, son profil l’a toujours forcé à travailler plus que les autres pour s’en sortir et convaincre.
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Un syndrome bien précis
« Il faut que les gens disent que tu es un mec bien. Ça m’a pesé, ce jugement permanent… Le syndrome du blédard, une manière un peu poétique de dire qu’on essaye de s’adapter ». Avec ces mots, Gad Elmaleh tente de faire comprendre que d’une certaine manière, se mettre la pression pour tenter de plaire aux autres et un moyen, pour soi-même, de toujours se tirer vers le haut pour aller chercher le meilleur.
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