Disparition d’Emile : Cette piste du procureur qui fait froid dans le dos
Disparu depuis plus de deux semaines, le petit Emile reste malheureusement introuvable. Dans le hameau du Haut-Vernet, lieu de la disparition, l’espoir s’amenuise. Le procureur de la République a lâché une phrase glaçante au sujet de la famille du garçon.
À lire aussi : Émile : les folles théories des médiums pullulent
Cette confidence glaçante du procureur sur l’affaire
Emile a disparu sans laisser de trace le samedi 8 juillet. Alors qu’il se trouvait dans la maison de vacances de ses grands-parents, le garçon aurait échappé à leur vigilance. Alors que l’enquête se poursuit dans le village du Vernet, l’enfant reste toujours introuvable.
Plus de deux semaines après la disparition, les langues se délient dans la commune. Les habitants ont notamment trouvé le comportement de la famille d’Emile étrange. Le père, dont le passé intrigue, fumait la pipe. « C’était comme si on ne recherchait pas un enfant vivant » a témoigné un voisin.
L’évêque de Digne a par ailleurs dévoilé une confidence glaçante que lui a fait le procureur de la République. Ce dernier aurait précisé que dans ce genre d’affaire, le coupable se trouve dans la famille dans 80 % des cas. Mais pour l’heure, aucune preuve ne permet d’aller en ce sens.
À lire aussi : « Il est calme, posé » : un proche de la famille prend la défense du père d’Émile
La famille d’Emile détiendrait-elle la vérité ?
Alors qu’un couple a été longuement auditionné, le maire du village penche pour une piste accidentelle. « Un conducteur qui au lieu de réagir normalement, déraille. Je suis sûr que le corps n’est pas dans la commune tout a été retourné. Il a été déplacé. Il y a eu intervention d’un adulte, qu’il soit mort ou vivant » a-t-il témoigné.
Alors que les enquêteurs peinent à avancer dans l’affaire, la famille d’Emile pourrait détenir des informations cruciales. C’est en tout cas ce que qu’a suggéré une psychologue interrogée par BFMTV. Selon elle, le traumatisme pourrait avoir fait oublier certains souvenirs.
« C’est aussi un temps, pour la famille proche et pour l’entourage, où des souvenirs pourront se reconstituer. Quand on est exposé à un traumatisme, on sait qu’on peut parfois souffrir d’une amnésie rétrograde » détaillait-elle.
À lire aussi : « Un tiers impliqué » : nouvelle révélation sur la disparition d’Emile
