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Agression du petit-neveu de Brigitte Macron : Quelles sont ses séquelles ?

Publié par Gabrielle Nourry le 06 Juin 2023 à 15:56

Le 15 mai dernier, Jean-Baptiste Trogneux, le petit-neveu de Brigitte Macron, a été agressé devant sa chocolaterie. Le procès des agresseurs a eu lieu ce lundi 5 juin. L’occasion pour l’avocat de la victime de revenir sur les séquelles du proche de la Première dame.

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Le petit-neveu de Brigitte Macron marqué par son agression

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C’est une affaire qui avait fait vivement réagir. Le 15 mai, le petit-neveu de Brigitte Macron avait été agressé devant sa chocolaterie à Amiens. Jean-Baptiste Trogneux, âgé de 30 ans, avait été roué de coups par au moins une personne lui valant quatre jours d’ITT.

Alors qu’Emmanuel Macron avait réagi à cette agression, huit personnes avaient été interpellées. Trois individus ont été jugés ce lundi 5 juin. Ils devaient comparaître le 17 mai dernier mais leurs avocats avaient demandé un report afin de préparer leur défense.

Mais le petit-neveu de Brigitte Macron n’a pas simplement été blessé physiquement, il présente également d’autres séquelles que son avocat a tenu à rappeler. « Les violences morales et les conséquences sont particulièrement compliquées à effacer » a-t-il indiqué.

petit neveu brigitte

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Des peines exemplaires retenues contre les suspects

Jean-Baptiste Trogneux aurait de multiples séquelles à en croire son médecin traitant qui lui aurait diagnostiqué un syndrome de stress post-traumatique. Le professionnel de santé a également détecté des troubles de l’humeur ainsi que des difficultés à dormir chez le petit-neveu de Brigitte Macron.

Les trois suspects avaient été placés en détention provisoire dans l’attente de leur procès. Ce lundi 5 juin, deux individus ont finalement été condamnés. L’un a écopé d’une peine de 12 mois de prison ferme, et un autre de 15 mois de prison ferme. Le troisième suspect a été relaxé en raison du manque de preuves.

« C’est ce qu’on appelle une peine exemplaire et on n’est pas là pour faire des exemples » déplore l’avocate d’un des accusés. Elle estime que les peines sont ainsi en raison de l’identité de la victime.

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