« Attendez, attendez, je termine » : quand Édouard Philippe s’agace vivement face à Thomas Sotto sur France 2 (vidéo)
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Décidément, cette séquence va venir remettre deux sous dans la musique au débat sur les tensions entre les politiques… et France 2. Invité de Thomas Sotto dans Télématin ce mercredi 2 novembre, Édouard Philippe est apparu très agacé alors que le journaliste et présentateur de l’émission semblait user d’une ironie mal placée à l’heure d’évoquer un sujet majeur : l’écologie. Entre les deux, ça a quelque peu chauffé, comme le montre la vidéo qui suit !
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Édouard Philippe sort les griffes sur France 2
S’il pensait passer un moment agréable et sans trop de nuages à l’horizon, Édouard Philippe s’est trompé. Récemment visé par l’enquête de la justice sur la gestion de la crise du virus de la Covid-19 par les politiques au pouvoir entre 2020 et 2021, l’ancien Premier ministre était alors interrogé à ce sujet. Pourtant, c’est sur un autre domaine de l’actualité que la tension est montée entre l’ex-bras droit d’Emmanuel Macron et Thomas Sotto.
En effet, au moment d’aborder le sujet de l’écologie, le journaliste avait visiblement plusieurs questions à poser. Problème : il a voulu aller… trop vite. Une impatience à laquelle Édouard Philippe n’a que (très) peu goûté. « L’écologie n’est pas une question de conversion, ce n’est pas une religion. C’est un sujet d’aujourd’hui », s’est alors exclamé celui qui, depuis de longs mois, voit son apparence physique se transformer.
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Entre Thomas Sotto et Édouard Philippe, le ton est monté.
L’ancien Premier ministre remet Thomas Sotto à sa place
Avec un sourire narquois, Thomas Sotto s’apprêtait alors à couper la parole de son invité. Et une nouvelle fois, Édouard Philippe a sorti les griffes : « Attendez, attendez, je termine ». De son côté, le journaliste a préféré continuer dans son ironie, questionnant son invité du jour sur la possibilité, ou non, de pouvoir lui poser « une ou deux questions de temps en temps ». Drôle d’ambiance, donc, sur le plateau… Mais en même temps, l’ironie n’a pas toujours sa place dans les interviews réalisées avec un représentant politique !
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