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Marc Doyer annonce la mort de sa femme Mauricette : il accuse le vaccin Pfizer

Publié par Jeanne Ferry le 04 Mai 2022 à 21:10

C’est une triste nouvelle qu’a annoncée Marc Doyer ce mercredi 4 mai 2022. En effet, la propriétaire du célèbre cabaret à Breuil-le-Vert se battait depuis quelques mois contre la maladie de la vache folle. Et selon son mari, cela a été engendré par le vaccin Pfizer qu’elle avait reçu plusieurs mois auparavant contre le Covid-19.

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Le symbole d’un combat

Ce mercredi 4 mai 2022, Marc Doyer a posté un triste message sur son compte Twitter. Il a posté une photo de sa femme, Mauricette qu’il a accompagnée de la légende suivante : « Pfizer m’a tué #Mauricette vient de partir rejoindre le paradis des artistes » . Une nouvelle qui a suscité une vague d’émotions et de réactions sur les réseaux sociaux. 

La vidéo du jour

Et pour cause, Mauricette Doyer était devenue le symbole du combat contre la maladie de Creutzfeldt-Jakob, une maladie rare caractérisée par une dégénérescence rapide et fatale du système nerveux central. Très célèbre pour être la propriétaire d’un cabaret dans l’Oise, elle luttait contre la maladie de la vache folle. Une maladie qu’elle n’aurait pas contractée par hasard selon son mari.

Une maladie liée à Pfizer ?

En effet, depuis plusieurs mois maintenant, son mari Marc Doyer écumait les plateaux télés pour dénoncer le fait que la maladie de la vache folle ait été contractée par sa femme après qu’elle ait reçu le vaccin Pfizer.

Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste en janvier dernier, il n’avait pas hésité à s’en prendre au vaccin, responsable selon lui de tout cela : « Avant (la deuxième dose), tout allait bien, elle allait sur scène et apprenait ses textes, quinze jours après, elle a commencé à avoir des fourmillements, quelques vertiges, puis une escalade de symptômes assez rapidement » .

Suite à la découverte de la maladie de sa femme, Marc Doyer confiait : « je n’ai pas pu m’empêcher de craquer » Un lien pas établi et pas reconnu par la communauté scientifique et médicale. Selon le médecin Jean-Philippe Brandel, neurologue à la Pitié-Salpétrière, l’incubation de ladite maladie serait très lente, environ une dizaine d’années et non une dizaine de jours, ne pouvant alors pas rendre responsable le vaccin Pfizer.