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Nabilla ruinée par la polémique des « influvoleurs » ? « Il y a eu un vrai choc… »

Publié par Andrianaivo RAOELIJAONA le 19 Jan 2024 à 11:00
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Dans les colonnes du magazine Elle Suisse, Nabilla s’est confiée à cœur ouvert sur son parcours digne d’une success story américaine. La it-girl en a profité pour évoquer la polémique des « influvoleurs ».

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De star de télé-réalité à femme d’affaires, Nabilla Benattia a décidé de surfer sur sa notoriété pour bâtir son propre empire. L’étiquette de « bimbo sans cervelle » lui a longtemps collé à la peau. Seulement, l’ancienne candidate des Anges a prouvé qu’elle a bien plus d’une corde à son arc. C’est l’une des raisons pour lesquelles elle a été mise à l’honneur dans le magazine Elle Suisse.

Lors de cette récente interview, la femme de Thomas Vergara s’est laissée aller à quelques confidences sur son parcours professionnel. Alors forcément, la brune de 31 ans a été invitée à évoquer son métier d’influenceuse. L’occasion pour elle de donner son avis sur la loi qui vise à encadrer le milieu de l’influence commerciale.

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© Capture d’écran Instagram

« Mon business n’a pas été impacté »

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Depuis plusieurs mois, le rappeur Booba s’est donné pour mission de démanteler le réseau des « influvoleurs ». Ce terme désigne les stars du web qui abusent de leur notoriété auprès de leurs abonnés. Ils font en effet la promotion de services et/ou de produits inexistants ou encore contrefaits. Ces influenceurs malhonnêtes adoptent ainsi des pratiques commerciales trompeuses.

Avec le collectif AVI (Aide aux Victimes d’Influenceurs), l’ennemi de Magali Berdah a fait bouger les choses. En effet, le gouvernement s’en est mêlé et la loi visant à lutter contre les dérives des influenceurs est désormais en vigueur. Depuis, plusieurs stars du net ont été épinglées par la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes). Capucine Anav, Illan Castronovo ou encore Poupette Kenza en font partie.

Le nom de Nabilla n’a cependant jamais été associé à cette polémique. La trentenaire a toutefois tenu à exprimer son point de vue.

« En ce qui me concerne, mon business n’a pas été impacté. Je trouve cela très bien parce que c’est un nouveau métier en phase de régulation qui a besoin d’être cadré (…) Il y a eu un vrai choc et qu’un bon ‘nettoyage’ se fasse, est plutôt nécessaire »

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Nabilla approuve la loi sur les influenceurs

Le métier d’influenceur n’est plus ce qu’il était. Malgré tout, Nabilla n’a pas à se plaindre, car la businesswoman continue d’enchaîner les partenariats avec les grandes marques. La maman de Milann et Leyann approuve d’ailleurs cette loi visant à réguler les activités dans ce milieu. De cette manière, les diverses arnaques vont cesser.

« Il faut que des règles soient mises en place pour savoir ce qui peut se faire ou pas. Il faut être attentif à ce que nous postons. Nous sommes la vitrine de beaucoup de personnes qui nous suivent »

Voilà une prise de position qui devrait être saluée par Booba et le collectif AVI.

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