« Il n’y a eu aucun contrôle » : L’homme qui a pénétré à l’Élysée dévoile les détails de son intrusion
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Après une fuite dans le budget de l’État, l’Élysée a été confronté à une véritable intrusion. Un homme s’est infiltré dans les locaux du gouvernement sans aucun problème.
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Intrusion à l’Élysée : un homme pénètre dans les lieux comme si de rien n’était
Ce 28 septembre dernier, l’Élysée a subi une intrusion. En effet, un homme a réussi à pénétrer dans le bâtiment sans encombre. Un lieu pourtant bien gardé qui a bel et bien été envahi par un civil. Une information qui a été révélée par le Canard Enchaîné et qui a réellement fait douter le public sur la sécurité de palais du gouvernement français. L’individu, un homme âgé de 26 ans, a réussi à se balader librement à l’Élysée, une intrusion qui n’avait pas été repérée avant son interpellation à l’intérieur. Interrogé par RTL, l’homme n’avait qu’une idée en tête : parler au président Emmanuel Macron pour trouver un emploi.
Face aux policiers de Paris, l’homme a expliqué comment il s’y était pris pour cette invasion de l’Élysée. Seul, il explique qu’il n’a eu aucun mal à passer inaperçu. Il a alors indiqué qu’il a « vu que la porte principale était barricadée, mais qu’il y avait une autre entrée à l’ouest » . Une entrée par laquelle passaient justement des ministres, des membres du personnel, habillés en civil. C’est par là que l’individu a décidé d’entrer dans l’Élysée.
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Il n’y a eu « aucun contrôle, aucune demande, aucune salutation »
L’homme explique avoir ensuite suivi deux personnes civiles pour pénétrer dans le bâtiment. L’auteur de cette intrusion à l’Élysée l’affirme : il n’y a eu « aucun contrôle, aucune demande, aucune salutation » . D’après sa déclaration, l’homme se serait alors baladé librement dans la cour principale et aurait monté les marches principales pour se présenter au « maitre d’Hôtel » . « Bonjour, j’aimerais rencontrer le Président, c’est pour du travail » , a-t-il dit au personnel sur place.
Rien que ça. Après un vol de 90 000 euros à l’Élysée, cette affaire d’intrusion soulève de vraies questions sur la sécurité des lieux.
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