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Ce bébé qui a la tête aussi grosse qu’un ballon de football ne peut plus ni dormir ni manger

Publié par Nicolas F le 15 Jan 2018 à 11:47
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Un petit Pakistanais de 15 mois, a son pronostic vital engagé. Sa tête est aussi grosse qu’une balle de football. Les fluides ont fait gonfler sa tête, l’empêchant de dormir, de manger ou de bouger. N’étant pas suffisamment en forme, il est très dangereux d’imaginer l’opérer. Pour le moment, seules les prières de ses parents peuvent l’aider.

 

Leurs voisins les insultent

Muhammad Sanaullah, est né à Badin, dans la province de Sindh, au Pakistan. Il souffre d’hydrocéphale, c’est-à-dire que sa boîte crânienne est remplie de fluides. Sa tête a donc gonflé comme un ballon de football. Il n’a que 15 mois, et déjà, il est la risée de leur village. Les parents reçoivent des insultes de leurs voisins sans cœur. Pour le moment, ils ont quitté leur maison, pour suivre leur enfant qui a eu besoin d’être hospitalisé dans un hôpital qui est situé à 195 kilomètres de leur domicile.

 

Une infection à la poitrine l’affaiblit beaucoup

Sa santé s’est dégradée rapidement ces dernières semaines. Il se bat aussi contre une infection à la poitrine. « Nous espérons que Dieu entende nos prières pour le traiter », supplient ses parents qui n’ont plus que la prière pour se rassurer. « Sanaullah est né comme un enfant normal. Nous étions si heureux qu’après 18 ans de mariage, Dieu nous ait enfin honoré d’un fils », raconte la maman, qui a aussi eu 4 filles. « Après trois ou quatre semaines, la tête de Sanaullah a commencé à grandir anormalement. Nous l’avons amené à l’hôpital de Badin, mais les médecins nous ont conseillé de l’amener dans un plus grand hôpital, à Karachi. »

 

Une dernière opération pour le sauver

Depuis, le petit Sanaullah a déjà subi plusieurs opérations et traitements pour que les fluides se répartissent dans d’autres parties du corps. Mais jusqu’à présent c’est un échec, et une autre opération lourde pourrait lui être fatal. Plus on attend, plus sa condition se dégrade. Les parents sont à cours d’argent pour poursuivre les soins. Son père travaille dans une épicerie et gagne 6 euros par jour. Lorsque son infection à la poitrine sera guérie, les chirurgiens ont promis de tenter une opération ultime.

Crédits : Caters News Agency

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