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Elle prend la douloureuse décision de faire piquer son chien, mais la décision suivante est encore pire !

Publié par Nicolas F le 24 Oct 2017 à 11:26

Quelle mauvaise surprise pour Keri Levy qui a été confrontée à un fantôme. Il y a quelques mois, Keri avait dû prendre une décision douloureuse. Son vétérinaire lui avait conseillé d’euthanasier Caesar, son pinscher nain de 14 ans qui souffrait d’une maladie dégénérative des muscles. Elle s’était alors rendue à l’Hôpital vétérinaire de Briarwood, dans le New Jersey, pour abandonner son toutou et le faire piquer. Ce jour-là, elle lui fait ses adieux, pensant ne plus jamais revoir son petit Caesar.

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L’hôpital vétérinaire qui a pratiqué l’euthanasie (Capture Google Maps)

Son toutou a été euthanasié une première fois

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Le compagnon de Keri a été récupérer le collier, une fois l’opération terminée. Puis, il a payé 192 dollars pour la crémation du corps. Il a même reçu une lettre de condoléance de la part du vétérinaire. Mais cinq mois plus tard, elle reçoit un coup de fil anonyme qui la prévient que Caesar est toujours en vie !

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Son pinscher qu’elle pensait avoir fait piquer

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Elle apprend une nouvelle qui va la bouleverser

Elle apprend qu’un membre de l’équipe a refusé de piquer Caesar et l’a repris avec lui à la maison. L’hôpital s’est complètement déchargé de cette responsabilité et précise que les employés ont agi de leur propre chef. Keri Levy s’est exprimée au micro de News12 New Jersey : « Ça m’a brisé le cœur comme il n’a jamais été brisé auparavant. »

Elle doit le faire piquer pour la deuxième fois

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Le pire dans tout ça, c’est que Caesar avait vraiment besoin de soin. Pendant 5 mois, il a souffert, ses os se sont détériorés et son corps consommait ses muscles. Il a donc fallu reprendre la décision de l’euthanasier, une deuxième fois. « J’ai dû rentrer à la maison, dire à mes enfants que le chien était vivant, puis leur annoncer qu’il avait rejoint le paradis pour de bon cette fois-ci ». La police a ouvert une enquête. La direction de l’hôpital vétérinaire a été remplacée.