Son compagnon l’oblige à avoir des relations se*uelles avec leur chien
Le juge n’a pas caché son effarement face aux actes sexuels que le couple infligeait à son petit carlin.

Un chien victime d’abus se*uels
Le récit de leurs pratiques se*uelles soulève le cœur. Paige Reaney et Graham Marshall, respectivement 33 et 38 ans, forment un couple pas comme les autres. S’ils semblent mener une existence à peu près classique, ce qui passe derrière les murs de leur maison laisse sans voix. Présentés devant le juge, ils sont accusés d’avoir eu des rapports se*uels avec leur animal de compagnie, un petit carlin.

Lors de sa prise de parole, le juge Jeremy Richardson KC évoque une affaire « extrêmement troublante ». « Au cours de mes 45 années de carrière dans le droit, je pensais avoir rencontré le plus grand nombre d’actes de dépravation. Cette affaire est peut-être le pire exemple de cas de ce genre que j’aie jamais rencontré », a-t-il ajouté.
Selon les déclarations de Paige, c’est son compagnon qui exigeait qu’elle se prête à de telles pratiques avec leur animal de compagnie. Un témoignage que la Cour a évidemment pris en compte, ajoutant à la liste de ses méfaits la « coercition ». « Vous n’avez jamais refusé aucune de ces demandes », a toutefois souligné le juge.

Le couple condamné à de la prison ferme
Par ailleurs, le couple a partagé sur TikTok une vidéo de leurs ébats que Graham a qualifiée de « tellement chaude ». Autant d’éléments qui laissent le juge et les jurés dans l’incompréhension. À l’heure actuelle, Graham a déjà passé cinq ans derrière les barreaux. Comme sa compagne, le britannique a plaidé coupable pour les faits de férocité et cruauté envers les animaux.
L’homme a également été reconnu coupable de possession d’images pédop*rnographiques, de pornographie extrême et de faits de voyeurisme. En plus de sa condamnation, l’homme a écopé d’une période de libération conditionnelle d’une durée de 4 ans.
Paige a été condamnée à neuf mois de prison et deux ans de sursis. « Vous vous êtes vautré dans le marais de la dépravation sexuelle à plusieurs reprises et sur une longue période », a conclu le juge.