Blague du jour : Un Italien, un Anglais, un Américain et un Français débattent sur la recette des pâtes carbonara
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Un Italien, un Anglais, un Américain et un Français se retrouvent donc à la même table lors d’un grand banquet international. Le thème du jour ? « Les Pâtes ».
L’Italien, coiffé d’un béret – oui, un béret, ne me demandez pas pourquoi – est, évidemment, le premier à prendre la parole. Agitant sa fourchette comme s’il dirigeait un orchestre, il déclare avec passion :
« Les pâtes à la carbonara, mes amis… Ce n’est pas simplement un plat, c’est une véritable œuvre d’art ! Guanciale, œufs, pecorino, et surtout… PAS de crème ! Si tu mets de la crème, tu es banni d’Italie à vie ! Et je te le dis, c’est même écrit dans la Constitution ! »
L’Anglais, quant à lui, lunettes sur le nez et avec un air désabusé, rétorque calmement :
« Vous, les Italiens, vous compliquez toujours tout. Chez nous, c’est bien plus simple : on a les pâtes carbonara… en conserve. Deux minutes au micro-ondes et hop, parfait pour les étudiants et ceux qui ont mieux à faire que de passer deux heures en cuisine. »
L’Italien, surpris et indigné, écarquille alors les yeux, comme s’il venait d’entendre que la Joconde avait été redessinée avec Paint :
« EN CONSERVE ?! Ma non, c’est un crime ! Un crime contre l’humanité des pâtes ! Vous avez littéralement transformé la cuisine en… fast food ! »
À ce moment-là, l’Américain, vêtu d’un t-shirt avec un aigle et mangeant, bien entendu, un burger (parce que oui, il mange un burger pendant une discussion sur les pâtes), éclate de rire :
« Vous deux êtes vraiment trop sérieux avec vos trucs de puristes. Chez nous, c’est encore plus simple. Des pâtes ? On les noie dans du ketchup, on ajoute une tonne de cheddar, et BAM ! Pâtes à la ‘Murica. Et vous savez quoi ? C’est ce qu’on appelle la liberté, les gars. »
L’Italien, frôlant alors la syncope, manque de laisser tomber son béret de sa tête. Cependant, avant qu’il ne s’évanouisse, le Français, qui n’avait encore rien dit jusque-là, lève la main avec l’air naturellement supérieur et, bien sûr, un verre de vin à la main :
« Ah, ces pauvres âmes perdues… Vous ne comprenez décidément rien à l’art de la table. Les pâtes, c’est bien, mais avez-vous déjà essayé… les pâtes au beurre avec un peu de truffe et un soupçon de parmesan affiné ? Simple, mais avec du raffinement. La perfection, c’est français, après tout. »
À ce moment-là, l’Italien, toujours à moitié conscient, se ressaisit tout juste assez pour marmonner :
« Des pâtes… au beurre ? C’est comme peindre un chef-d’œuvre avec une brosse à dents ! »
C’est alors que, sans surprise, le serveur arrive avec les plats et annonce fièrement :
« Messieurs, voici votre dîner : pâtes à la carbonara en conserve ! Comme demandé. »
Aussitôt, l’Italien s’écroule de son siège. L’Anglais soupire de satisfaction tandis que l’Américain applaudit avec enthousiasme. Quant au Français ? Il fronce les sourcils, attrape sa baguette et murmure, l’air grave :
« Je m’en vais. On ne plaisante pas avec le goût. »
Finalement, tout le monde mange les pâtes en conserve… sauf l’Italien, qui, encore évanoui, murmure dans son sommeil : « Pas la crème… »