Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Insolite

Une jeune femme accro aux BBL qui a « failli mourir sur une table d’opération » ne peut pas s’arrêter

Publié par Andri R le 11 Oct 2025 à 2:30

Cette jeune femme adore les BBL. Non pas qu’elle aime souffrir, mais elle est gaga de voir les résultats de cette opération sur son corps.

La suite après cette publicité

Fan incontestée du corps en sablier, cette demoiselle ne recule devant rien pour obtenir la silhouette de ses rêves. Pourtant, elle a vécu plusieurs mauvaises expériences. Tout son entourage lui conseille d’arrêter. Sauf qu’elle ne l’entend pas de cette oreille !

Cette femme claque son argent en BBL !

La vidéo du jour à ne pas manquer

N’est pas Kim Kardashian qui veut. Toutefois, grâce au BBL, vous pourrez vous approcher de cette silhouette presque iconique. C’est le cas de cette jeune femme qui a commencé les BBL très tôt, avant même d’avoir la majorité. À 17 ans, Victoria Errigo se faisait grossir les fesses pour la toute première fois.

La suite après cette publicité

Malgré les revers, elle n’hésite pas à réitérer l’aventure. Pour les novices, une BBL est une opération chirurgicale esthétique. Des professionnels, du moins espérons-le, prélèvent de la graisse de diverses parties du corps. En général, ils vont s’attaquer aux cuisses, au ventre, au bas du dos ou encore aux lèvres !

Ensuite, il va falloir transférer toute cette graisse dans le fessier. La jeune femme qui nous intéresse aujourd’hui a jusqu’ici dépensé 30 000 $ ou 25 900 € en BBL.

À lire aussi

La suite après cette publicité

Elle en a vu de toutes les couleurs !

Pourtant, cela a été loin d’être une sinécure. Victoria décrit son premier contact avec cette opération et nous avons eu mal pour elle. La jeune femme raconte : « On m’a administré une anesthésie locale, j’ai tout ressenti : je criais, je pleurais. Le médecin qui m’opérait m’a dit : « Si vous criez encore une fois, je vous laisse sur cette table » ».

Elle ajoute aussi : « C’était comme une usine à viande. Ils m’ont jetée sur un lit, je suis restée allongée 30 minutes, puis je suis partie. Mon chirurgien ne s’est même pas garé dans une zone de stationnement, il s’est arrêté pour faire un BBL très rapidement avec ses feux de détresse allumés, puis il est parti, c’est à quelle vitesse mon BBL a été, sans souci, sans rien ».

La suite après cette publicité

En fait, la jeune femme se soumet à cette torture physique pour gagner de la confiance en elle. Dès ses 15 ans, Victoria souhaite s’arrondir pour pouvoir être fière de son corps. Malgré cette première fois très peu engageante, elle signe pour une deuxième opération. Cette fois, elle perd presque la vie.

À lire aussi

La jeune femme raconte : « J’avais très peur. À l’hôpital, tout le monde parlait espagnol. Je me suis réveillée avec deux transfusions sanguines, une dans chaque bras. J’étais sur le dos, alors je me suis dit qu’ils essayaient juste de me maintenir en vie à ce stade – ce n’était même plus une question de BBL ».

La suite après cette publicité

Une femme qui sait ce qu’elle veut !

Aujourd’hui, Victoria se remet difficilement de sa troisième BBL. Elle porte bretelles et corset et ne peut toujours pas s’asseoir. Comme si cela ne suffisait pas, la jeune femme vit une autre anecdote traumatisante, toujours en rapport avec les BBL.

Cette coquette jeune femme déplore : « Ma copine et moi avons subi un BBL dans la même clinique – j’ai découvert qu’elle était décédée. Je me suis sentie très responsable de sa mort, c’est vraiment difficile à vivre. Mon amie me manque terriblement ».

La suite après cette publicité

Pourtant, cette femme déterminée refuse de s’interdire d’autres BBL. Les internautes essaient tant bien que mal de la dissuader. Certains célèbrent sa beauté naturelle, affirmant qu’elle n’a besoin d’aucune chirurgie.

D’autres lui conseillent de simplement porter un corset et dire stop aux BBL. Victoria ne se laisse pas influencer : « Les gens qui jugent mon apparence, je m’en fiche. Je fais ce que je veux, quand je veux, vous ne pouvez pas m’en empêcher ».

La suite après cette publicité

Rejoignez nos 875 726 abonnés en recevant notre newsletter gratuite

N'oubliez pas de cliquer sur l'email de validation pour confirmer votre adresse email. Si vous ne l'avez pas recu vérifiez dans vos spams.

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *