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Un organisateur de soirées gang bangs sème la zizanie dans un quartier Parisien

Publié par Quentin VIALLE le 13 Fév 2025 à 10:30

Organisées par un certain « Z » dans le XVe arrondissement de Paris, des soirées gang bangs pourraient très bientôt accueillir plus de participants après le dépôt d’une demande officielle. Une chose qui inquiète particulièrement les habitants du quartier et les autorités. On vous explique tout de cette folle histoire !

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À Paris, mairie et riverains sont furieux contre un organisateur de soirées gang bangs qui veut accueillir plus de monde
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Des soirées gang bangs à Paris suscitent la colère

Les habitants de la rue d’Alleray, située dans le XVe arrondissement de Paris, sont à bout. Et pour cause, un club libertin clandestin, surnommé « La Factory », organise jusqu’à trois gang bangs par jours dans les sous-sols d’un immeuble résidentiel.

Ces évènements rassemblent une vingtaine de participants maximum, une limite qui permet à l’organisateur d’éviter les contraintes administratives des établissements recevant du public (ERP). L’entrée est payante pour les hommes (80 euros), alors que les femmes y ont accès gratuitement.

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À Paris, mairie et riverains sont furieux contre un organisateur de soirées gang bangs qui veut accueillir plus de monde
La gang bang se pratique en groupe, souvent avec une femme et plusieurs hommes.

Face au succès grandissant de ces soirées sexuelles à plusieurs, l’organisateur, qui se fait appeler « Z », a déposé une demande auprès de la préfecture afin d’augmenter la capacité d’accueil du lieu. Une possibilité qui ne plaît pas du tout aux riverains, déjà excédés par cette activité qu’ils jugent inappropriée…

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Les autorités sous pression

Si la mairie et les autorités tentent de faire cesser ces soirées, elles se heurtent malheureusement à des limites légales. Des contrôles réguliers sont effectués, notamment pour vérifier l’absence de drogues ou d’infractions, mais il est impossible de les faire interdire tant qu’elles respectent la loi.

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Contre toute attente, le propriétaire des lieux, lui, soutient pleinement l’organisateur. Comme le révèle le Parisien, il aurait même engagé des poursuites contre les autres copropriétaires pour financer des travaux de mise aux normes. Une situation qui complexifie la résolution du conflit, laissant les habitants du quartier désemparés…

Source : LeParisien

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