Le NHS va dépister les symptômes de l’autisme et du TDAH chez les enfants qui pensent être transgenres
Le nombre d’enfants transgenres dans la société ne cesse de s’accroître. Et ce, malgré l’enfer que certains d’entre eux vivent au sein de leurs communautés. Entre discrimination, mal-être et jugements, la frustration fait partie intégrante de leur vie. Dans cette optique, le NHS veut accroître la manière de mieux les protéger !
Enfants transgenres : un calvaire quotidien !
En réalité, le phénomène des transgenres n’est pas récent et ne survient pas uniquement en Occident. Au contraire, cela existe depuis des lustres et dans tous les recoins de la planète. De l’Italie au Japon, en passant par la Côte d’Ivoire, il touche principalement les enfants !
Dans ces endroits, les enfants transgenres vivent comme tout le monde, avec leurs besoins spécifiques. Mais en Europe, ils ont encore un long chemin à faire avant que la société ne les accepte totalement. Pourtant, les gens ne savent pas que cela n’a rien à voir avec l’influence sociale, les caprices, ou la mode.
Ces enfants mènent un combat intérieur que peu de gens peuvent connaître. Si bien qu’un bon nombre d’entre eux tombent dans ce qu’on appelle la dysphorie de genre. Loin d’être une pathologie, il s’agit plutôt de la combinaison entre l’anxiété, l’isolement social et la dépression. Certains d’entre eux ont même des pensées suicidaires !
Dans cette détresse à la fois silencieuse et mortelle, les parents ne savent pas comment réagir. À l’école, leur progéniture se font rejeter, voire humilier par les autres. Et les réactions de l’entourage ne valent pas mieux ! Voilà pourquoi il faut prendre des mesures scolaires, sociales et surtout médicales envers les enfants transgenres !
Une mesure à la hauteur du problème !
L’initiative d’examiner la santé mentale des enfants transgenres vient de la pédiatre Baronne Hilary Cass. Dans son rapport, elle mentionne des bloqueurs de puberté qui font de gros ravages chez les adolescents. En guise de solution, elle propose une « approche plus prudente », en plus des traitements médicaux habituels !
Car oui, la dysphorie de genre est un problème qui concerne d’abord la santé des enfants. Il faut s’éloigner des préjugés initiaux relatifs aux personnes transgenres. C’est dans cette optique que le NHS veut imposer ses nouvelles lignes directives au sein des établissements de pédiatrie.
Pour faire simple, tout adolescent qui veut faire une transition de genre doit d’abord suivre un programme précis. Cela inclut des interrogations sur sa santé mentale, surtout les « troubles neurodéveloppementaux ». Il en va de même pour ses relations avec ses proches et ce qu’il pense de sa sexualité !
Un autre constat étonnant concerne le nombre élevé d’enfants autistes au sein des communautés trans. Comme on peut s’en douter, cette surveillance clinique accrue est sujette à de vives critiques. Toutefois, les associations de transgenres déclarent : « L’évaluation plus minutieuse et plus holistique du NHS est la bienvenue ».
Une révolution dans l’identité des transgenres !
Outre le problème concernant la santé mentale des enfants transgenres, le mouvement féministe « critique du genre » vient aussi de gagner une rude bataille. Désormais, les femmes trans ne bénéficieront plus du même statut légal que les femmes. Une décision de la Cour Suprême que bien des gens approuvent !
Kemi Badenoch, la cheffe du Parti conservateur au Royaume-Uni, déclare : « Dire que “les femmes trans sont des femmes“ n’a jamais été vrai dans les faits, et ce n’est plus vrai non plus en droit. C’est une victoire pour toutes les femmes qui ont été victimes de violences personnelles ou qui ont perdu leur emploi pour avoir énoncé l’évidence ».