Le mystère du Capacabra serait enfin résolu ! Des scientifiques auraient découvert le secret de cette créature momifiée aux mains humanoïdes
La rénovation d’un bâtiment à l’Université d’État du Michigan se transforme en une importante découverte archéologique. Sur place, les scientifiques trouvent la momie d’un animal étrange, qu’ils ont baptisé le Capacabra. Son existence même est l’objet d’une grande fascination au sein de la communauté ! Voici ses caractéristiques et ses possibles origines !
Ils font du Capacabra leur mascotte !
En 2018, alors que la rénovation du Cook-Seevers Hall bat son plein, les ouvriers découvrent un animal momifié dans un conduit d’aération. À première vue, il s’agit d’un quadrupède normal, sauf qu’il possède des mains similaires aux humains. Très vite, des scientifiques se penchent sur son cas et essaient de l’identifier.
En attendant de confirmer son espèce, les archéologues le baptisent le Capacabra. Un jeu de mots issu de CAP, le programme d’archéologie du campus, et Chupacabra, un animal latino-américain tout aussi mystérieux. Jerielle Cartales, une doctorante de l’Université de Dundee, en Écosse, est chargée de l’identifier et de percer son secret.
D’après Cartales, le Capacabra « a à peu près la taille d’un petit chat et il a une queue très longue et fine, qui va de pair avec des traits félins. Mais il a des mains presque humaines. Il y a cinq doigts, des ongles, et tout – il a presque l’air humanoïde. Il est recouvert d’une très fine couche de tissu, mais tout est super fin – on dirait du vieux papier parchemin ».
Par ailleurs, cette scientifique mentionne un nez et des oreilles presque intacts chez l’animal. En attendant que les experts élucident ce mystère, le programme d’archéologie du campus fait du Capacabra sa mascotte.
La théorie la plus plausible !
Pour l’heure, Cartales et son équipe ne sont pas à même de préciser l’âge du Capacabra. Mais de toute évidence, il ne peut pas être aussi vieux que le bâtiment lui-même. Sinon, on l’aurait remarqué bien avant la construction ! Par contre, le processus de momification rend difficile l’obtention d’informations précises.
« Ce qui est intéressant, c’est que cela aurait pu être là pendant un mois, cela aurait pu être là pendant 50 ans, nous ne savons pas vraiment. Théoriquement, je suppose que nous pourrions essayer de le dater au radiocarbone, mais le bâtiment lui-même n’est pas assez vieux pour que cela en vaille la peine », dit Cartales.
Quant à son espèce, la scientifique hésite encore entre un chien, un chat, un rat, ou un opossum. Mais elle a écarté toutes ces possibilités en raison d’un trop grand nombre de différences. Finalement, elle pense que le Capacabra est simplement un raton-laveur. Cet animal a effectivement des pattes qui ressemblent à nos mains !
« Je suis une scientifique, je ne dirai jamais 100 % de quoi que ce soit. Je dirais qu’à ce stade, je suis sûr à environ 75 % qu’il s’agit d’un raton laveur, mais je dois terminer le reste de mon analyse », dit-elle. Le Capacabra restera donc un animal unique en son genre jusqu’à preuve du contraire !
L’animal se serait introduit dans le bâtiment en utilisant un conduit d’aération. Toutefois, il n’a pas pu survivre dans cet environnement très sec. De plus, l’air chaud et sec aurait pu précipiter sa momification ! Voilà pourquoi le climat chaud et humide sur place n’a pas pu endommager son cadavre.
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