Voici le seuil à partir duquel les banques vous traitent comme un client « riche »
Si les banques sont toujours enclines à encaisser des fonds, certains clients les intéressent plus que d’autres en raison de leur rentabilité.
Quel est votre statut au sein de la banque ?
Traitement de faveur ou accueil classique ? En ce qui concerne votre banque, tout dépend — bien évidemment — de l’argent dont vous disposez. Ainsi, le site TF1 Infos éclaire les consommateurs sur leur situation et les avantages auxquels ils peuvent prétendre en fonction de leur capital financier. Pour commencer, il est important de préciser qu’il s’agit là du patrimoine mobilisable (argent disponible sur vos comptes) et non pas de vos placements en bourse ou de vos biens immobiliers.
En partant de ce postulat, les banques ont identifié trois catégories de clients. Les « aisés », qui disposent de 100 000 à un million d’euros de patrimoine mobilisable ; les « riches » qui ont entre un million et trente millions d’euros ; les « ultra-riches », qui disposent de plus de 30 millions d’euros sur leurs comptes. À noter que, si vous disposez de moins de 100 000 euros, vous êtes considéré comme étant un client classique.
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Une fois les consommateurs « intéressants » identifiés, les banques se lancent dans une inlassable opération séduction. De fait, elles sont aux petits soins pour vendre leurs produits les plus chers.
Cette catégorie privilégiée par rapport aux deux autres
Les clients cités plus haut bénéficient également d’un traitement prioritaire en cas de demande de crédit, ainsi que de conseils d’investissement personnalisés. Pour sûr, leurs demandes aboutiront plus rapidement que celles des clients dits classiques.
Point intéressant, les clients « aisés » sont les plus intéressants aux yeux des banques. La raison ? Les « riches » et « ultra-riches » demandent un investissement important de moyens. Résultat, les banques en ressortent perdantes, la solution n’étant pas rentable.
Selon TF1 Infos, les clients « aisés » peuvent être gérés de façon automatisée, ce qui les rend moins coûteux. Les établissements peuvent ainsi leur proposer un accompagnement personnalisé et des services exclusifs. Le tout, en optimisant leurs revenus.
