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Elle surprend son mari en plein adultère et commet l’impensable!

Publié par Elodie Gros-Désir le 30 Nov 2020 à 15:15

Si certaines attendent pour se venger de leur conjoint infidèle, d’autres préfèrent le prendre sur le fait. Soupçonnant son mari de la tromper, une femme s’est mis en tête de le suivre. Ses craintes se sont confirmées une fois qu’elle a surpris ce dernier embrassant une autre femme dans une voiture.

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Elle surprend son mari avec une autre

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Le 15 février dernier, une quinquagénaire s’est mise en tête de suivre son mari. Soupçonnant ce dernier de la tromper depuis un moment, elle l’a géolocalisé à l’aide de son téléphone. Elle a finalement retrouvé le couple illégitime à bord d’une voiture dans les hauteurs du village d’Eze. Très en colère, la femme victime d’adultère crie et menace les deux amants surpris. « Cela m’a choquée de les surprendre en train de s’embrasser. De colère, j’ai ouvert la portière afin de sortir la jeune femme. J’étais dans un état de nervosité, impossible de me contrôler. Mais je n’ai fait preuve d’aucune violence envers l’un comme envers l’autre… » , explique-t-elle à Florestan Bellinzona, le magistrat en charge de l’affaire.

Une fois les déclarations de la femme terminées, le magistrat a exposé la version des amants, quelque peu différente de celle de la prévenue. « La version est différente. Il était uniquement question de discussion entre eux. Vous avez poussé la victime et quand vous l’avez tirée par les cheveux, vous en avez arraché une poignée »‘ , déclare-t-il. Un certificat médical fait d’ailleurs état d’un jour d’ITT. « Pareil comportement n’incite pas à s’ouvrir au dialogue mutuel. Voire, l’impossibilité de régler un différend conjugal par une manière aussi brutale » , reprend Florestan Bellinzona.

1 000 euros d’amende

« Je peux comprendre les problèmes de couples. Mais cela ne se résoudra jamais par la violence. La prévenue n’avait pas le droit de commettre de tels faits. En plus, elle n’assume pas sa responsabilité à l’audience. Trompée, bafouée, elle a décidé de se jeter sur la victime et de l’affronter physiquement. Ce n’est pas une altercation. C’est une agression. Pour que cette dame ne recommence plus, je propose une peine de dix jours d’emprisonnement assortie du sursis » , déclare le président.

La prévenue a écopé de 1 000 euros d’amende.

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Source: Nice matin