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Jimmy Mohamed : cette routine surprise qui lui a fait perdre 12 kilos sans régime strict

Publié par Killian Ravon le 21 Nov 2025 à 18:26

Depuis plusieurs mois, le Dr Jimmy Mohamed explique avoir réussi à perdre puis stabiliser douze kilos, sans régime draconien ni méthode farfelue. Dans différentes interviews, il raconte comment il a remis de l’ordre dans ses habitudes de vie, en s’appuyant sur une organisation alimentaire très précise et quelques ajustements simples.

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Homme souriant assis à une table, mangeant une salade colorée avec un verre d’eau, illustrant un repas léger dans une routine équilibrée.
Un homme savoure un repas léger et équilibré, reflet d’une nouvelle façon d’organiser ses journées.

Entre plateaux télé, radio et consultations, ce médecin ultra-sollicité a pourtant un emploi du temps chargé. C’est justement cette contrainte qui l’a poussé à adopter une routine structurée… dont un détail, assez étonnant, n’est dévoilé qu’au moment où l’on regarde de près sa journée type.

La vidéo du jour à ne pas manquer
Grande assiette de salade verte et légumes frais photographiée en gros plan sur une table en bois, illustrant un repas équilibré après plusieurs heures de jeûne intermittent.
Une assiette colorée et rassasiante, l’exemple typique d’un repas qui suit un long jeûne.
Crédit : Pixabay / Pexels
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Un médecin médiatisé qui applique ses propres conseils

Le visage de Jimmy Mohamed est devenu familier pour beaucoup de Français. On le voit à la télévision, on l’écoute à la radio, on le lit en librairie. Derrière cette exposition médiatique, il revendique une chose : prendre le temps de tester lui-même ce qu’il conseille au grand public.
Dans ses interventions, il rappelle souvent que la santé ne se résume pas à quelques slogans, mais à un ensemble de choix répétés chaque jour. C’est en appliquant cette philosophie à sa propre vie qu’il a fini par s’attaquer à ses kilos en trop.

Ce changement ne s’est pas fait du jour au lendemain. Le médecin raconte avoir longtemps eu les mêmes travers que beaucoup de ses patients, entre grignotages, viennoiseries et petits plaisirs sucrés.

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À force d’observer les conséquences de ces habitudes chez les autres, il a fini par se demander comment il pouvait lui-même alléger son quotidien.
Sa réponse n’a pas été un régime spectaculaire, mais une réorganisation globale de son routine alimentaire. Et surtout, une décision : respecter davantage le fonctionnement naturel du corps plutôt que de le pousser en permanence.

Plat de mâche et fruits à coque disposé dans une assiette vue de dessus, symbolisant une alimentation riche en fibres et en bonnes graisses après une longue période sans manger.
Un mélange de mâche et de noix, parfait pour rompre le jeûne en douceur.
Crédit : Pixabay / Sponchia

Une transformation physique qui intrigue le public

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Lorsqu’il confie avoir perdu douze kilos, ce n’est pas tant la perte de poids qui interpelle que le fait qu’il ait réussi à stabiliser ce nouveau poids stable dans la durée. Dans ses échanges, il insiste sur ce point : maigrir quelques semaines est une chose, ne pas reprendre ensuite en est une autre.

Cette stabilité s’explique, selon lui, par la cohérence de son mode de vie. Il dit vouloir sortir de la logique du « coup de collier » avant l’été ou des régimes express, pour privilégier ce qu’il peut tenir sur le long terme, même en période de forte activité professionnelle.

Le médecin explique ainsi que sa méthode n’a rien de magique, mais qu’elle répond à une réalité simple : nous mangeons souvent trop, trop souvent, et sans vraiment nous demander si nous avons faim. Il raconte avoir longtemps confondu, lui aussi, la vraie faim avec l’envie de manger par habitude, par stress ou par gourmandise.

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Ce regard honnête sur ses propres travers le rend plus audible lorsqu’il détaille ce qui a, selon lui, changé la donne. Car le cœur de sa métamorphose repose sur une pratique dont on entend beaucoup parler, mais que lui affirme avoir adoptée de manière très rigoureuse.

Le rôle central du jeûne intermittent dans son changement

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À la question « comment avez-vous perdu ces douze kilos ? », Jimmy Mohamed répond sans détour : il pratique le jeûne intermittent. Il ne le présente pas comme un régime à proprement parler, mais comme un cadre qui l’aide à structurer ses journées.

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Son idée de base est de laisser enfin son organisme respirer entre deux prises alimentaires. Il résume d’ailleurs sa réflexion par une phrase tranchante : nous ne laissons quasiment jamais notre tube digestif au repos, et nous avons perdu l’habitude de faire la différence entre le vrai besoin de manger et le simple réflexe.

Dans les médias, il explique que ce type de pratique s’appuie, selon lui, sur une partie de la littérature scientifique. Il évoque des travaux qui montreraient que le jeûne intermittent pourrait favoriser la perte de poids et le gain d’énergie, en permettant au corps de puiser davantage dans ses réserves et de mieux gérer l’insuline.

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Il insiste toutefois sur un point : il ne s’agit pas de se lancer dans des privations extrêmes. Pour ce médecin, un tel cadre n’a de sens que s’il s’intègre à une vie normale, avec un certain confort psychologique. C’est aussi pour cela qu’il préfère parler de « mode de vie » plutôt que de technique miracle.

Sans entrer d’emblée dans tous les détails de ses horaires, il explique avoir beaucoup décalé son premier repas de la journée. Selon lui, c’est ce décalage qui l’a reconditionné à identifier à nouveau la sensation de faim. Il confie qu’au début, il s’est rendu compte que bien des envies alimentaires n’étaient qu’une impulsion passagère, sans lien réel avec les besoins du corps.

Bouteilles d’huile et de vinaigre alignées sur une table avec une salière, illustrant l’usage quotidien du vinaigre comme allié possible de la perte de poids.
Huile et vinaigre, un duo simple qui peut soutenir une démarche minceur.
Crédit : Pixabay / birgl
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Moins de sucre et des repères simples pour s’y retrouver

Au-delà du jeûne en lui-même, Jimmy Mohamed a revu ce qu’il met dans son assiette, en particulier côté sucre. Il dit mener un combat personnel contre les sucres industriels, ceux que l’on retrouve dans les gâteaux, les biscuits ou les desserts ultra-transformés.

Pour lui, il existe une différence nette entre le sucre naturellement présent dans les fruits et celui des produits manufacturés. Les premiers sont intégrés à une matrice alimentaire riche en fibres, tandis que les seconds concentrent des calories peu utiles pour l’organisme lorsqu’elles s’additionnent tout au long de la journée.

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Le médecin résume souvent ce principe de manière très concrète. Il explique que si l’on remplace les cookies et crèmes glacées par des fruits en quantité illimitée, la prise de poids devient beaucoup moins probable. Cette approche, qu’il décrit dans ses interventions, repose sur une règle simple : privilégier les aliments les moins transformés possible.

Mais saviez-vous qu’il conseille aussi de revoir le tout premier geste du matin ? Plutôt qu’un petit-déjeuner sucré, il recommande de se limiter à un thé ou un café non sucré. Selon lui, ce choix évite de lancer la journée sur un pic de sucre et s’intègre mieux à sa logique de jeûne, surtout lorsque la première vraie prise alimentaire est repoussée.

Ce discours, très accessible, touche beaucoup de personnes qui se débattent avec leurs habitudes sucrées. Le médecin n’emploie pas des termes techniques, il préfère rappeler des repères du quotidien : la boisson chaude au lever, les goûters transformés, les desserts du soir. L’objectif est de montrer qu’en ajustant ces points, on peut déjà faire bouger la balance.

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Tasse de thé fumant posée près de biscuits secs sur une table sombre, rappelant la différence entre boisson chaude non sucrée et en-cas sucré à limiter.
Le matin, il garde le thé, mais se passe volontiers des biscuits.
Crédit : Pixabay / JillWellington

De petits gestes quotidiens plutôt qu’un régime extrême

Dans son livre « Zéro contrainte pour maigrir », Jimmy Mohamed insiste sur l’importance des petits changements accumulés. Il soutient qu’il n’est pas nécessaire de bouleverser toute son alimentation en quelques jours, mais de mettre en place des gestes tenables.

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Parmi ces gestes, il met en avant l’usage du vinaigre comme possible allié de la ligne. Selon lui, deux cuillères à soupe par jour, intégrées à l’alimentation, pourraient aider à perdre entre deux et trois kilos sur plusieurs mois. Il ne vend pas cela comme une potion magique, mais comme un coup de pouce supplémentaire dans une démarche globale.

Ce détail que peu de gens connaissent s’ajoute à une autre réalité qu’il assume pleinement : sa perte de poids ne repose pas uniquement sur la cuisine. Le médecin rappelle qu’il consacre autour de douze heures par semaine au sport. Une charge importante, qu’il présente non pas comme une obligation pour tout le monde, mais comme l’une des raisons pour lesquelles il se sent plus en forme.

La combinaison d’une alimentation plus cadrée et d’une activité physique soutenue lui permet, dit-il, de rester stable dans le temps. Il insiste sur le fait que chacun doit adapter le curseur à sa propre vie, mais il veut montrer que même un agenda très chargé n’empêche pas d’installer des routines efficaces.

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Plus largement, Jimmy Mohamed rappelle que des travaux scientifiques soutiennent une partie de ces pratiques, notamment sur le jeûne intermittent. Mais il répète aussi que chaque corps réagit différemment. Il invite donc à écouter son corps, à rester attentif aux signaux de faim et de satiété, et à éviter les approches extrêmes qui peuvent mener à la fatigue, au découragement ou aux troubles du comportement alimentaire.

La journée type qui lui a permis de perdre 12 kilos

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Reste la question qui intrigue le plus : à quoi ressemble concrètement une journée type pour ce médecin qui enchaîne consultations, antenne et projets personnels ? C’est là qu’apparaît le détail le plus surprenant de sa méthode.

Entre ses visites du matin, son passage au « Magazine de la santé » et ses interventions sur France Bleu, il explique que son premier repas ne se fait pas à l’heure habituelle du déjeuner. Il commence la journée avec, au mieux, un thé ou un café non sucré, sans petit-déjeuner sucré ni collation.

Tout au long de la matinée et du début d’après-midi, il s’appuie sur les ressources de son organisme, qu’il juge « extraordinaires », et sur sa routine sportive régulière. Il affirme ne jamais avoir la sensation de manquer d’énergie, justement parce que son corps est entraîné à fonctionner ainsi. Cette expérience personnelle, il la met en regard avec ce qu’il lit et observe : pour lui, le corps supporte mieux ces longues plages de repos digestif qu’on ne l’imagine.

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Lorsqu’il décrit sa façon de manger, il rappelle les principes déjà évoqués : limiter les sucres industriels, privilégier les fruits, utiliser le vinaigre au quotidien, organiser des repas structurés plutôt que de grignoter en permanence. Ces éléments, additionnés à ses séances de sport, composent ce qu’il appelle un quotidien plus léger, aussi bien physiquement que mentalement.

Pommes entières et bouteille de cidre ou vinaigre de pomme sur une table en bois, évoquant l’utilisation de deux cuillères de vinaigre par jour dans la routine minceur.
Pommes et vinaigre, un duo que le médecin met volontiers à contribution.
Crédit : Pixabay / Veronicatxoxo

Que retenir ?

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Et c’est seulement à la toute fin qu’il lève le voile sur ce qui frappe le plus les auditeurs : dans cette organisation millimétrée, son tout premier repas de la journée est fixé à… 16 h 30.

C’est à cette heure-là, après ses consultations et ses émissions, qu’il s’autorise enfin à manger pour de bon. Selon lui, c’est ce choix radical dans le timing, plus encore que la nature des aliments, qui lui a permis de perdre douze kilos et de ne plus les reprendre.

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