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Trou dans le crâne, fer brulant : Ces drôles de façons de soigner utilisées au Moyen Âge !

Publié par Noémie Penot le 21 Fév 2021 à 15:30
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Au Moyen Âge, la médecine n’était évidemment pas développée comme aujourd’hui. Et les croyances qui régnaient entre le Vème siècle et le XVème siècle étaient toutes plus farfelues les unes que les autres. Pour preuve : les traitements que les médecins faisaient subir aux malades étaient très peu agréables, voire cruels. Parfois même plus cruels que la maladie en elle-même ! Découvrez ces 9 cas, qui ne vont pas manquer de vous surprendre !

Malaria

Malaria

La malaria, que l’on appelle aujourd’hui paludisme, est une maladie infectieuse, que l’on retrouve majoritairement en Afrique. Cette maladie était déjà présente au Moyen Âge et on tentait de la soigner d’une étrange façon.

Entre le Vème siècle et le XVème siècle, on faisait un trou dans le crâne des malades car on pensait que la maladie se transmettait à cause d’un « mauvais air » ! Ne nous en demandez pas plus…

Les 4 humeurs

humeurs

Pendant le Moyen Âge, les physiciens pensaient qu’une bonne santé dépendait de la balance entre les 4 humeurs du corps : le sang, le phlegme, la bile jaune et la bile noire. Leur qualité était respectivement « chaud et sec », « chaud et humide », « froide et sèche » et « froide et humide » .

Et la meilleure façon de rétablir cet équilibre quand il était absent, était de faire des saignées ! C’est-à-dire de vider un patient d’une partie de son sang. Dis comme ça, on pense plus à l’oeuvre d’un psychopathe que d’un médecin !

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L’ancêtre de l’anesthésie : la concoction de Dwale

anesthésie

Au Moyen Âge, l’anesthésie n’existait pas et n’est arrivée qu’en 1846. Des opérations chirurgicales étaient quand même pratiquées ! Afin de diminuer la douleur du patient, les médecins créaient ce qui s’appelait la concotion de Dwale, qui est un mélange d’herbe et d’alcool.

Une boisson si forte, que le taux de mortalité était extrêmement élevé. Les patients ne mouraient donc pas à cause de l’intervention chirurgicale, mais à cause du mélange. Le rapport bénéfice/risque est plutôt clair !

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