David Hallyday : il règle ses comptes avec Laeticia dans une chanson
Le 5 décembre prochain, cela fera un an que Johnny Hallyday nous a quitté. Un an durant lequel nous avons assisté à l’explosion de la famille qui oppose aujourd’hui les aînés du chanteur à Laeticia. Alors pour régler ses comptes, David Hallyday écrit une chanson : « Eternel. »
David Hallyday règle ses comptes en chanson
David Hallyday ne s’en remettra pas. Il l’avoue lui-même : « ça m’a marqué au fer et je pense que c’est le seul truc de toute ma vie dont je n’arriverai pas à guérir.» Car il y a un an, le chanteur n’a pas pu dire au revoir à son père. Il estime même qu’il en a été empêché. «J’ai passé la journée à attendre de pouvoir entrer dans son bureau où il était hospitalisé et je n’ai pas pu le faire.» Le staff médical lui aurait interdit l’entrée prétextant la fatigue de Johnny.
Mais pour lui, il s’agit de consignes données par Laeticia. Alors pour hurler sa colère et panser ses plaies, il écrit une chanson : « Eternel. »
« J’ai vu dans tes larmes / Couler la blancheur / Mais noir sous le voile / Je cherche encore ton cœur / J’ai lu ton visage / Le vague, le mépris / N’est pas l’état sauvage / Avec lequel j’ai appris. »
David Hallyday sort du silence et rend hommage à son père en chanson
Comme David Hallyday ne pouvait pas voir son père, il lui a écrit une lettre. «J’ai laissé une lettre à la personne de service. » Malheureusement, là encore sa tentative reste inachevée : « Le lendemain, je lui ai demandé s’il avait pu lui remettre la lettre, il m’a dit « non désolé, je n’ai pas pu lui remettre ni lui lire. »
De ne pas avoir pu dire une dernière fois au revoir à son père, David Hallyday lui adresse son amour « Eternel » en chanson :
« Tu peux m’empêcher / De poser ma main / Sur son corps blessé / J’ai tout l’temps de savoir enfin / Qu’on peut tout casser / Ou tout effacer / Pour tuer ceux qui s’aiment / Faudrait déchirer le ciel / L’amour est éternel / L’amour est éternel (…) Tu peux m’empêcher / De tenir sa main / Rien ne peut souffler / La flamme d’où je viens. »