Mila agressée sexuellement à Lyon, son agresseur interpellé (vidéo)
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Après avoir ouvertement critiqué l’islam dans une vidéo publiée en ligne, Mila fait l’objet de nombreuses menaces de mort. Cette fois, alors qu’elle se promène sur les quais du Rhône à Lyon, elle se fait menacer de viol, est victime d’insultes sexistes et subit une tentative d’agression sexuelle. Découvrez son calvaire dans la vidéo ci-dessous :
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Mila agressée à Lyon
Ce samedi 19 février, Mila a été victime d’attaques sexistes lors d’une balade à Lyon. La jeune femme a filmé la scène qu’elle a publiée sur Twitter. Dans la première vidéo, on voit un jeune homme toucher son sexe, puis s’approcher d’elle : « Après cette vidéo, il a tenté de voler mon téléphone et a frotté son chibre contre moi ».
Dans une seconde vidéo, on voit un groupe d’hommes l’interpeller et faire des gestes obscènes. En légende, elle précise le contexte : « Regardez comme ceux-là sont fiers de m’avoir choppé par le bras et insulté de pute et de travesti car j’ai refusé leurs avances qui étaient ‘On te viole, on te baise le cul, viens là, très sexy, très charmante, baisse ton pantalon' ». Suite à ces attaques, elle fait le bilan de sa sortie : « Je me suis faite agresser sexuellement 12 fois dans une balade de 20 min. C’est ça la France en 2022 ».
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Mila soutenue par Zemmour
Suite à ces événements, Mila a porté plainte samedi soir contre l’homme de la première vidéo. Interpellé le dimanche 20 février, il s’avère qu’il est recherché par la justice pour vol à la roulotte. D’après la jeune femme, cette personne et son ami seraient « des migrants sans papiers », précise Lyon Mag.
Mila assure montrer le quotidien des femmes : « Une meuf n’est jamais tranquille. Sortir c’est une épreuve. J’arrêterai pas de les filmer, il faut montrer qui c’est, les dénoncer ». La jeune femme conclut : « Quand on est une nana, tous les 10 mètres, on se fait harceler. Et toujours par les mêmes profils. Il faut arrêter de le nier ». Ce à quoi Éric Zemmour réagit sur Twitter : « Ces images sont insupportables. Ce fléau empoisonne la vie des Françaises. À partir du 24 avril, j’en ferai un mauvais souvenir ».
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