Un garçon de 3 ans risque la mort, à cause d’une quinte de toux aboyante qui ne veut pas cesser
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La vie d’un petit garçon de 3 ans est en danger, à cause d’une quinte de toux qui ne s’arrête pas. Il a ce qu’on appelle le croup. Il s’agit d’une affection respiratoire qui gêne la respiration et provoque une toux « aboyante ».
Il souffre d’une quinte de toux inquiétante
Reuben Humphreys, 3 ans, est toujours à l’Infirmerie royale Victoria de Newcastle où il souffre d’une toux qui l’empêche de respirer. Ses parents, Owen et Stephanie, ont appris qu’il souffrait d’un cas de croup. Ses voies respiratoires sont bloquées et sa toux est très forte et grave, c’est pourquoi ce cas de laryngo-trachéo-bronchite est appelée « aboyante ».
Reuben souffre de croup
Leur médecin n’a rien diagnostiqué
Vingt-quatre heures auparavant, le petit Reuben jouait au bord du Lake District avec ses parents. « Il jouait avec nous durant cette petite escapade en famille. J’avais déjà entendu parler du croup, mais je ne savais pas exactement ce que c’était », explique le papa. Il a commencé à perdre sa voix sur le chemin du retour, et au réveil sa toux était devenue effrayante. Leur médecin de famille leur a indiqué qu’il s’agissait simplement d’une toux aiguë liée à un coup de froid. Mais les parents non-convaincus par le diagnostic ont préféré aller demander un deuxième avis.
Reuben et son papa, Owen, près du lac
5% des enfants qui l’ont eu, l’auront une deuxième fois
En arrivant à l’hôpital, il a immédiatement été mis sous sédatifs. Cela fait quatre jours que son état ne s’améliore pas. Il est toujours aux soins intensifs, en espérant que son état évolue positivement dans les heures à venir. Cette toux arrive en général à des jeunes enfants, entre six mois et trois ans. Les symptômes sont une toux qui fait penser à un aboiement, des difficultés à respirer et un son qui crisse lors de la respiration. Si votre enfant est pris d’une crise, asseyez-le bien droit et dégagez son torse pour agrandir sa cage thoracique puis allez immédiatement consulter. Rassurez bien votre enfant, car le stress ou les pleurs peuvent renforcer le problème.
Cela fait plusieurs jours que le petit est aux soins intensifs
