Découvrez quels types de physiques masculins les femmes préfèrent !
On a tendance à penser que les hormones influenceraient l’attirance d’une femme vers un homme. La science a prouvé le contraire et plus particulièrement les chercheurs de l’Association for Psychological Science en faisant une expérience. Les résultats inattendus obtenus remettent en question la place des hormones dans l’attirance physique.
Cette étude a nécessité le témoignage de 600 femmes hétérosexuelles volontaires. Ces dernières ont du mentionné leur statut de couple, si elles utilisaient un moyen de contraception hormonal et lequel, un petit échantillon de salive pour établir un bilan hormonal et enfin un questionnaire sur leurs préférences physiques chez les hommes.
Les visages très masculins favoris
Pour commencer, il a fallu avoir un aperçu dit « témoin », les chercheurs ont donc pris en compte la fluctuation de chaque participante. Elles ont toutes passé plusieurs fois le même test sur plusieurs semaines et ont dû noter leur attirance envers chacun des portraits présentés. Globalement, les visages très masculins ont été mieux notés contrairement à ceux des hommes ayant des traits plus féminins. Mais c’est avec surprise que les chercheurs ont découvert que les changements hormonaux des participantes sur un temps imparti n’ont pas fait changer leurs notes.
Les hormones n’influencent en rien l’attirance pour un homme
Jusqu’ici les chercheurs américains pensaient que les femmes en pleine ovulation avaient tendance à être plus attirées « par des hommes plus masculins, étant influencées par le besoin de reproduction ». Beaucoup de femmes se demandent pourquoi leur conjoint peut leur paraitre divin un jour et beaucoup moins le lendemain ? Serait-ce vraiment à cause des hormones ?
On pense tout de suite aux phéromones, qui joueraient un rôle primordial dans l’attirance physique. À l’heure où la science en était persuadée cette étude vient tout bouleverser. Chez les animaux, cette hormone faisait clairement ses preuves mais cela n’est pas aussi facile chez les êtres humains. Les chercheurs américains en ont donc conclu que la contraception hormonale n’influence aucune variation d’attirance envers son partenaire. Alors le « c’est les hormones ! » sorti à tout bout de champ, n’était finalement qu’une idée reçue.