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Affaire du petit Grégory : 33 ans après, un nouveau rebondissement dans l’affaire avec 3 personnes placées en garde à vue !

Publié par Notre Rédaction le 14 Juin 2017 à 16:39
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Vous avez forcément entendu parler de l’affaire du petit Grégory

Le 16 Octobre 1984, le petite Grégory Villemin a été retrouvé noyé, pieds et poings liés dans la Vologne (une rivière dans les Vosges). Malgré des années d’enquêtes, des accusés relâchés, le dossier réouvert plusieurs fois, le meurtre de l’enfant n’a jamais été élucidé. Cette année, Grégory aurait eu 37 ans.

 

Cette affaire a connu de terribles rebondissements. Dans un premier temps, c’est un membre de la famille qui est accusé et emprisonné. Mais il est relâché. Quelques mois plus tard, le père du petit Grégory le tue. Après, c’est la maman de l’enfant qui a été incriminée. Mais faute d’éléments probants, les poursuites ne sont pas allées loin. Le dossier a été réouvert en 2000 et en 2008 afin de procéder à des analyses ADN grâce aux nouveaux moyens disponibles qui n’existaient pas en 1984. Mais toujours rien.

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

 

Un rebondissement aujourd’hui !

L’information vient du Républicain Lorrain et a été confirmée par le procureur général de la cour d’appel de Dijon. En effet, trois interpellations ont bien eu lieu sur commission rogatoire dans le département des Vosges, dans le cadre de l’enquête sur le petit Grégory Villemin. Les trois personnes en garde à vue sont un couple de septuagénaires membre de la famille (l’oncle et la tante du papa de l’enfant) et une autre personne membre de la famille également . Ils pourraient reste en GAV jusqu’à ce soir voire demain. Une mise en examen serait possible. Deux autres personnes, toujours de la famille ont également été entendues aujourd’hui.

 

Les septuagénaires seraient accusée de « complicité d’assassinat, non-dénonciation de crime, non-assistance à personne en danger et abstention volontaire d’empêcher un crime ». La lumière va t-elle être enfin faite sur cette affaire ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter.

 

Sources : Le Républicain Lorrain  – Le Point

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