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Vol au Louvre : Les bijoux utilisés comme » prêts entre groupes criminels » ? Les effrayantes hypothèses d’un spécialiste

Publié par Elodie GD le 20 Oct 2025 à 13:03

Interrogé par CNews, Claude Moniquet se montre peu optimiste quant aux chances de retrouver les bijoux dérobés au Louvre.

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Pillage de haute-voltige dans l’enceinte du Louvre

Où sont les bijoux dérobés ? Le musée du Louvre est le théâtre d’un étonnant cambriolage ce dimanche 19 octobre. Comme à son habitude, le lieu déborde de visiteurs qui parcourent les galeries, s’attardant devant les tableaux et scrutant jusqu’au plus petit des objets. Une journée normale dans ce haut lieu de la culture, qui accueille pas moins de 9 millions de personnes chaque année.

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Cette fois cependant, une poignée de malfaiteurs se mêlent aux amateurs d’art. Vêtus de gilets jaunes, ils ont trouvé une parade imparable : se faire passer pour des ouvriers. Une couverture crédible qui leur garantit de n’attirer ni l’attention des employés ni celle des visiteurs, rassurés par leurs équipements.

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Vol de bijoux au musée du Louvre

Affublés de la sorte, ils parviennent à dérober neuf bijoux exposés dans la galerie d’Apollon. Seuls deux d’entre eux seront retrouvés et par les enquêteurs, qui poursuivent les recherches et espèrent mettre la main sur la totalité du butin.

Que sont devenus les bijoux ? : les pistes d’un spécialiste

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Quand certains gardent espoir et comptent sur une résolution de l’affaire, d’autres envisagent le pire. C’est le cas de Claude Moniquet, spécialiste du terrorisme et des renseignements. Sollicité par CNews, le sexagénaire déroule ses hypothèses, dont certaines font froid dans le dos.

Pour commencer, il évoque une organisation criminelle spécialisée dans le trafic d’œuvres d’art, et dont le modèle s’apparenterait à celui du trafic de stupéfiants. Seule différence : ses acteurs encourent des peines de prison moindres et agissent ainsi avec la certitude de ne passer que quelques années derrière les barreaux.

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Pour ce qui est du sort réservé aux bijoux, Claude Moniquet fait allusion à une possible monnaie d’échange ou de garantie entre groupes criminels. Il glisse également l’idée que les malfaiteurs pourraient être intéressés par la valeur des bijoux et donc par le métal et les pierres qui les composent. Dans ce cas, ils seraient fondus et les enquêteurs ne remettraient jamais la main dessus. Toutefois, un espoir subsiste. Les voleurs pourraient en effet se servir des bijoux comme monnaie d’échange, et ainsi recontacter le Louvre pour réclamer une rançon.

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Reste la piste de l’équipe dépêchée par un collectionneur privé. Une fois les bijoux récupérés, il les aurait rangés en lieu sûr pour ne plus les montrer à quiconque. Là encore, les chances d’identifier le possible commanditaire et de retrouver les sept pièces dérobées relèvent presque de l’impossible…

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