Qui en veut à Pauline ? Une jeune femme retrouve son malinois pendu en rentrant chez elle
Pauline Joly n’oubliera jamais ce terrible jour où en rentrant du travail, elle a retrouvé son tendre animal de compagnie, pendu à une poutre chez elle, au nord de l’Oise.
Tout s’est joué à quelques minutes !
Orus, un malinois de 3 ans et demi, y a échappé belle ! En effet. Pauline Joly, sa propriétaire, est arrivée à temps ce samedi 25 juin. Le pauvre était pendu à une poutre par sa laisse. Heureusement que ce jour-là, elle n’a pas rencontré de difficultés sur la route en rentrant du travail… « A quelques minutes près, il ne serait malheureusement plus là ».
Ce mercredi 29 juin, un vétérinaire a pu examiner l’animal. Visiblement, et fort heureusement, ce dernier ne semble souffrir que d’une inflammation autour du cou. Néanmoins, la propriétaire remarque que la pauvre bête fait désormais de nombreux cauchemars, ce qui n’était pas le cas auparavant. Mais le pire dans cet événement, c’est que Pauline Joly soupçonne ses voisins d’avoir commis cet acte terrible et elle assure avoir déposé plainte le jour même.
Pauline serait harcelée au quotidien par ses voisins
Selon la propriétaire, il y aurait un lien entre ce terrible événement et les plaintes qu’elle a reçues contre les aboiements des deux chiens. En effet, elle assure que dès lors que sa petite famille est arrivée dans le logement il y a quatre ans, elle a reçu une première lettre de plainte. Ainsi qu’une visite du maire pour les avertir.
C’est alors qu’ils ont pris l’initiative de construire des chenils et d’acheter des colliers anti-aboiements. Mais cela n’aurait visiblement pas suffi ! En effet, les propriétaires auraient retrouvé des boulettes de viande avec des clous à l’intérieur. Ainsi que la lunette arrière du véhicule familial brisé.
La veille des faits, Pauline assure avoir reçu une autre lettre concernant les aboiements. « Ce n’est pas une coïncidence. » Les voisins réfutent, de leur côté, tout aboiement intempestif. Et s’annoncent, étonnement, être solidaires. « Si on est dérangé par les aboiements, il faut habiter en ville. » conclut même un voisin.