Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Cinéma

Des animateurs diffusent les films d’horreur, Ça et Annabelle, à des enfants de 5 ans

Publié par FJ le 05 Jan 2020 à 16:33
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Des animateurs de centre aéré font énormément parler d’eux en ce moment. Et pour cause, ils ont diffusé des extraits de films d’horreur plutôt violent, du genre Ça ou encore Annabelle a de très jeunes enfants de 5 ans. Et évidemment, les petits bouts en sont ressortis très choqués.

La suite après cette publicité
animateurs diffusent film horreur

>>> À lire aussi : Un homme rencontre un loup sauvage dans la forêt… Quelques instants plus tard, il découvre l’horreur…

Des films d’horreur diffusés à des enfants de 5 ans

La suite après cette vidéo

Ce n’est pas la manière la plus pédagogue qui soit de s’occuper d’enfants. Alors qu’ils s’occupaient de petits enfants de moins de 6 ans, inscrit dans le centre de Plan d’Aou dans le sud de la France, des animateurs ont eu une drôle d’idée.

La suite après cette publicité

Alors qu’une activité handball était prévue, les animateurs en ont décidé autrement. Ces derniers ont alors pris la décision de diffuser des films d’horreur aux enfants. Et pas des moindres, puisqu’il s’agissait des plus traumatisants de ces dix dernières années à savoir Annabelle et Ça.

>>> À lire aussi : La série The Witcher abandonne la fantasy pour l’horreur !

Des enfants traumatisés

La suite après cette publicité

Ce sont les parents qui ont donné l’alerte. En effet, comme le confie Jane, la mère d’une petite fille de quatre ans : « Dès qu’elle est rentrée du centre, je l’ai trouvée perturbée. Et lors du coucher, quand elle a refusé que je ferme la porte de sa chambre pour la première fois de sa vie, j’ai compris que quelque chose s’était passé ».

Les contrats de deux animateurs et deux stagiaires n’ont pas été renouvelés, mais « nous avons effectué un signalement à leur sujet auprès du ministère des sports, l’organisme de tutelle, pour qu’ils ne puissent pas repostuler » indique la direction du centre.

« Elle ne joue même plus avec ses poupées dans sa chambre de princesse, regrette Nawelle Benamar, la mère d’un autre enfant dans les colonnes de La Provence. Il ne me reste plus qu’à prendre rendez-vous avec un pédopsychiatre pour que cet épisode ne nuise pas à son développement personnel. »

La suite après cette publicité

>>> À lire aussi : Quinze lycéens font un malaise en plein cinéma devant un film d’horreur !