Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Faits divers

Tony, trois ans, a été battu à mort : son beau-père passe aux aveux !

Publié par Mélanie le 01 Fév 2021 à 21:00
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Tony, trois ans, a été battu à mort par son beau-père en novembre 2016. Ce dernier a « reconnu les faits » ce lundi, au premier jour de son procès devant les assises de la Marne.

Tony

À lire aussi : Affaire du petit Grégory : après 36 années de silence, les époux Jacob sortent du silence (Vidéo)

Tony, 3 ans, a été battu à mort

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Cette tragédie a mis la France en émoi. C’est l’histoire dramatique de Tony, un petit garçon âgé de trois ans. Le 26 novembre 2016, vers 15 h 30, les sapeurs-pompiers de Reims reçoivent l’appel d’une jeune femme. Une mère de 19 ans qui indique que son fils de 3 ans a perdu connaissance après une chute. Arrivés au domicile de la jeune mère, les pompiers découvrent un petit garçon dans un état « particulièrement grave ».

Alors qu’ils tentent de réanimer l’enfant, les secouristes découvrent sur son corps de nombreux hématomes et décident d’en aviser les services de police. Tony est transporté aux urgences pédiatriques du CHU de Reims, où un médecin constate à son tour des traces de coups de poing au ventre. Malheureusement le petit Tony décédera à peine quelques heures plus tard.

Son beau-père a reconnu les faits

« Je reconnais les faits«  , a répondu Loïc Vantal, 28 ans, cheveux ras, un peu tassé dans le box de verre, lors de son procès. Accusé de « violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur mineur par personne ayant autorité » , Loïc V, le beau-père de Tony, âgé de 24 ans à l’époque des faits, encourt trente ans de réclusion criminelle mais n’avait pas l’air intimidé face à une salle pleine à craquer de journalistes.

Abonnez vous à la Newsletter TDN

La mère de Tony n’a pas reconnu les faits qui lui sont reprochés. Caroline Letoile est jugée pour « non dénonciation de mauvais traitements » et « non assistance à personne en danger. » La jeune femme comparaît libre, sous contrôle judiciaire, et risque cinq ans d’emprisonnement.

À lire aussi : Affaire Grégory : Ce rebondissement qui pourrait enfin permettre de démasquer les coupables !