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Une femme en fin de vie a quitté son mari pour aller s’accoupler avec tous les hommes qu’elle a croisé !

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Une femme new-yorkaise affronte un diagnostic terminal. Son histoire devient rapidement un sujet public. En effet, elle choisit une voie singulière, loin des conventions. Ses écrits attirent l’attention des médias et des auditeurs. Et le récit se transforme en podcast suivi par des milliers d’internautes. Les détails !

Une femme face au diagnostic terminal !

Tout commence en 2011, quand Molly Kochan apprend qu’elle souffre d’un cancer du sein. Les traitements s’enchaînent, mais la maladie reste présente malgré les efforts médicaux. Puis, quatre ans plus tard, le diagnostic tombe : il est malheureusement terminal.

À 42 ans, cette femme décide de vivre ses dernières années avec intensité et liberté ! En effet, elle refuse de se laisser enfermer dans l’image de la malade fragile. Elle choisit de se définir autrement, en cherchant la joie plutôt que la pitié. C’est pourquoi elle s’éloigne des regards compatissants qui l’étouffent et la réduisent à son cancer.

Tout naturellement, Molly prend une décision radicale qui surprend son entourage. Elle quitte son mari pour explorer une nouvelle aventure sexuelle. Autrement dit, la jeune femme transforme son quotidien en une quête intime, loin des conventions sociales.

Les confessions étonnantes de Molly Kochan !

Molly Kochan raconte son parcours dans un blog intitulé Everything Leads to This. Ce projet évolue vers un podcast à succès, Dying For Sex, avec son amie Nikki Boyer.  Elle y partage ses pensées les plus intimes, ses doutes et ses découvertes. Une chose est sûre, cette femme sait comment transformer son histoire en témoignage universel.

Dans ses échanges, Molly insiste sur le fait qu’elle refuse d’être réduite à son statut de malade. « J’aimais ne pas m’identifier à la maladie », souligne-t-elle. Et s’il y a une chose qu’elle déteste avant tout, c’est quand les gens la regardent avec pitié. Car même si elle vit sa vie normalement, elle reçoit toujours comme remarque qu’elle est forte. Comme si sa vie consistait à essayer de paraître mieux.

En tout cas, Molly révèle dans le blog qu’elle allait continuer à écrire jusqu’à ses derniers jours. D’ailleurs, elle a déjà publié un livre posthume, Screw Cancer: Becoming Whole. Et cette femme laisse derrière elle un message final intitulé I have died.

Molly affirme avoir trouvé ce qui lui apportait joie et vérité. Elle écrit : « Je sais ce que j’ai fait à la fin de ma vie ». Puis, elle insiste sur la joie qu’elle trouve dans ses choix, malgré la maladie. Cette femme rappelle que ses leçons ne sont pas universelles, mais profondément personnelles.

« Les gens vont faire ce qu’ils veulent, même moi »

Molly évoque également ses relations avec ses amis après le diagnostic. Cette femme révèle que certains ont disparu malgré leurs promesses. Puis, elle écrit : « Les gens vont faire ce qu’ils veulent, même moi ». Dans son message, on peut également la trouver s’excuser auprès des proches qu’elle n’a pas pu saluer avant sa mort.

Puis, elle compare sa fin à un « dinghy de la mort », fragile mais équilibré. Par ailleurs, elle accepte que certains puissent lui en vouloir. Elle écrit : « Si vous êtes en colère, allez-y, c’est compréhensible ». Elle aurait pu réagir ainsi en lisant ce message, reconnaît-elle.

En tout cas, ces confessions n’ont pas manqué de toucher les internautes. La franchise et la sincérité de Molly ne sont pas passées inaperçues. Beaucoup y voient l’histoire d’une femme qui voulait tout simplement se sentir vivante. Et d’ailleurs, parfois, c’est tout qui importe. Vivre la vie comme on la sent.