Des étudiants portent des chapeaux anti-triche en classe : les photos sont hilarantes !
Aux Philippines, une classe a décidé de venir à un contrôle coiffée de chapeaux anti-triche. Une idée de la professeure qui a été suivie par les étudiants en ingénierie. Les photos, très drôles, sont rapidement devenues virales sur internet.
À lire aussi : En voyant cette mère venir chercher son fils à la sortie de l’école, toutes les mères sont outrées par la tenue qu’elle porte !
Une idée de la professeure
L’idée provient du cerveau de Mary Joy Mandane-Ortiz. La professeure en génie mécanique a trouvé amusant de demander à ses élèves de venir coiffer d’un « chapeau anti-triche ». Cela pour assurer l’intégrité et l’honnêteté dans ses cours. La consigne qui a été donné était : avoir sur la tête un chapeau, un casque ou tout autre système qui empêche de regarder la copie de son voisin.
Interrogée par BBC News, la professeure dit s’être inspirée d’une idée similaire provenant de Thaïlande. En effet, en 2013, un professeur de l’université de Bangkok avait demandé à ses élèves de fabriquer eux-mêmes leur « chapeau anti-triche » .
À lire aussi : Expulsée de son école, la tenue de cette adolescente a été jugée inappropriée, jugez par vous-même !
Le chapeau anti-triche porté par tous les élèves
Une idée proposée par la femme, mais elle ne s’attendait vraiment pas à ce que son groupe de 100 étudiants soit aussi créatif. Durant l’examen, tous portaient un « chapeau » . Casque de gladiateur, chapeau de sorcière, sac en carton, une multitude d’idées toutes plus drôles les unes que les autres. Chacun a confectionné soi-même son chapeau.
Le post Facebook de Mary Joy Mandane-Ortiz avec les photos de ses élèves est très vite devenu viral. Le pays s’est intéressé à l’histoire. Le sujet a aussi fait l’objet de plusieurs reportages étrangers ! Selon la professeure, la méthode a fonctionné, aucun étudiant n’a été pris en train de tricher. L’idée a été aussi suivie par d’autres étudiants en ingénierie. Ceux de l’université Batangas (Philippines).
À lire aussi : Étranglements, punaises plantées dans la peau : un enfant de 6 ans « sème la terreur » dans une école
