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Il était une fois… un homme romantique ( « Ceci, tuera cela ! » Même Victor Hugo l’avait compris…)

Publié par Laurie Cottenet le 03 Sep 2013 à 17:02

 

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 « Le gorille menait une vie brute et éparpillée qui est maintenant recentrée sur les choses qui lui importent. Il n’y avait pas de mots pour décrire combien il était chanceux. Sans elle à ses côtés, sa vie aurait fini par flétrir. »


« Le gorille menait une vie brute et éparpillée qui est maintenant recentrée sur les choses qui lui importent. Il n’y avait pas de mots pour décrire combien il était chanceux. Sans elle à ses côtés, sa vie aurait fini par flétrir. »

 

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« C’est dur à croire de les voir aussi heureux. Il ne pouvait imaginer passer ne serait-ce qu’un jour sans elle. »

« C’est dur à croire de les voir aussi heureux. Il ne pouvait imaginer passer ne serait-ce qu’un jour sans elle. Il s’est donc agenouillé et a prononcé sa demande : ‘Ma plus chère girafe, veux-tu m’épouser ?’»

 

« Il sentait son coeur battre la chamade. Il ne pouvait rien faire qu’attendre qu’elle dise OUI. »

« Il sentait son coeur battre la chamade. Il ne pouvait rien faire qu’attendre qu’elle dise OUI. »

 

« Quand elle a finalement répondu, il ne pouvait s’empêcher de sourire parce qu’il savait, au fond de lui, que ce n’était que Le Début ! »

« Quand elle a finalement répondu, il ne pouvait s’empêcher de sourire parce qu’il savait, au fond de lui, que ce n’était que Le Début ! »

C’est d’une manière  très attentionnée qu’il a demandé à l’illustrateur Yoni Limor de composer en suivant ses indications, la BD de sa demande en mariage. Retraçant les grandes étapes de leur histoire, et surtout de leur bonheur, il clos la dernière bulle par la question fatidique : « Ma plus chère girafe, veux-tu m’épouser ? ». On vous rassure ce n’est pas une maladresse sur la taille disproportionnée du cou de sa prétendante. En effet, c’est en prenant les avatars d’un gorille et d’une girafe que Yoni Limor a conçu l’histoire à la demande de l’amoureux. Comment ne pas préciser qu’avec une telle demande l’élue ne pouvait que dire : Oui ! Le prince charmant existe encore, c’est une espèce rare. Mme Philips a tiré le gros lot, nous pouvons pleurer sur notre sort. Bonne chance aux heureux époux.

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PS : Peut-être divorcerons-t-il par Gifs animés? Qui sait

Et certaines américaines ont elles trouvé une façon bien moins élégante de pousser leurs amoureux à les demander en mariage…

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