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Des victimes se réveillent avec leurs cheveux coupés et personne ne sait qui leur veut du mal

Publié par Nicolas F le 12 Août 2017 à 16:23

Dans un pays où les croyances sont au cœur de la culture, un phénomène de panique s’empare des Indiens qui sont victimes d’esprits coupeurs de cheveux. Les cheveux qui sont à la fois monnayés très chers dans ce pays qui fabrique des perruques et à la fois un symbole important, sont la cible de malfaiteurs qui s’introduisent la nuit chez les gens et leurs coupent leurs tresses.

 

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Elles se réveillent avec leur tresse coupée durant la nuit

La police est à la recherche d’une ou plusieurs personnes qui sévissent la nuit, alors que les victimes sont endormies. À leur réveil, elles remarquent qu’on leur a coupé les cheveux, laissant une tresse soigneusement arrangée sur l’oreiller. Étonnamment, les malfaiteurs ne s’emparent pas des cheveux, puisqu’ils les laissent à côté des victimes.

(Parveen Kumar/Hindustan Times via Getty Images)

Une femme a été pointée comme une sorcière responsable

Dans l’Uttar Pradesh, dans le nord de l’Inde, les parents ont peur de laisser leurs enfants seuls dans leur chambre. Mais un vent de panique, mêlé au croyance local, a complètement transformé cet acte de banditisme en un phénomène proche de la magie. Les locaux pensent que c’est l’œuvre d’esprits ou des sorcières. Une femme de 65 ans a même été battue à mort par un membre d’un clan qui la suspectait d’être une sorcière et donc responsable de la perte des cheveux des femmes de la région.

(Parveen Kumar/Hindustan Times via Getty Images)

Une hystérie s’empare de l’affaire

Des témoignages et des plaintes à la police ont été signalés dans les quartiers de la banlieue de Delhi et Haryana. Toutes les victimes se sont présentées aux autorités avec leur tresse dans la main, expliquant qu’on leur avait coupé les cheveux pendant la nuit. Malgré les victimes, emprises d’une certaine hystérie paranormale, les autorités ont appelé au calme. « Les esprits ne coupent pas les tresses des femmes. Il s’agit d’un délit, rien de plus », a expliqué Rakesh Gaur, devant ses collègues et universitaires du Jawaharlal Nehru Medical College à Agra.