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Vous pleurez devant des films ? N’ayez plus honte, c’est bon signe

Publié par Brandon Clouchoux le 15 Août 2021 à 8:30
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Pleurer devant un film, c’est peut-être déjà arrivé à tout le monde. On se sent souvent ridicule après ça, alors que en réalité, il ne faut pas : c’est synonyme d’une grande force mentale.

Vous pleurez devant des films

Pleurer en cachette ou avec nos amis, ça revient à la même chose. On a cette fâcheuse tendance à se sentir bête après, mais quand on remet les pieds sur Terre, on se dit que ce n’est rien. Des chercheurs se sont penchés sur la question et ont remarqué que c’était en fait un signe de grande force mentale. Donc, la prochaine fois, n’hésitez plus à pleurer…

D’après les experts, le type de relation qui nous lie avec des personnages fictifs est « parasocial »  – relation psychologique vécue par les membres d’un public avec des artistes et des personnages dans les médias et les arts – ou tout simplement « dans un sens » . Mais pourquoi ? Car, ces personnages-là ne nous connaissent pas, parce qu’ils n’existent pas. « Ce qui est intéressant, c’est que notre cerveau n’est pas conçu pour faire la différence entre une relation réelle ou fictive » , explique Jennifer Barnes, écrivaine américaine.

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Ces relations apportent toutefois de nombreux bénéfices dans la vraie vie : une meilleure estime de soi, un sentiment de solitude moins important et la sensation d’appartenir à quelque chose.

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Pleurer est synonyme de force

« Vu le temps qu’on passe avec les personnages chaque semaine, c’est normal d’être contrarié quand quelque chose leur arrive » , continue Jennifer Barnes.

Une étude du chercheur Paul J. Zak, publiée dans le journal Psychology Today montre que pleurer serait en réalité, l’expression d’une grande empathie et d’une force mentale à rude épreuve. Pleurer libère des molécules d’ocytocine, ce qui permet au chercheur de déduire qu’on a la capacité de se mettre à la place des autres.

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Notons que, la preuve d’empathie demande une beaucoup d’énergie à notre esprit. Par constat, réussir à pleurer devant un film demande une force mentale plus importante que la moyenne.

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