Ces baskets mythiques des années 2010 se revendent jusqu’à 4 fois leur prix d’origine
La passion pour les années 2000 se renforce et ramène avec elle des tendances oubliées, qu’elles soient musicales ou vestimentaires.
Vintage : quand les nouvelles générations se réapproprient les anciens codes
Le vintage n’a jamais été aussi en vogue. En quête de sens et d’identité, la génération Z se tourne vers le passé et ses tendances oubliées. Charmée par les looks des années 2000, elle remet au goût du jour les tenues dont certains rougissent de honte en parcourant les albums photos de famille ou les vieux comptes Facebook.
Aujourd’hui, jean taille-basse, jupes extra longues et écharpes fines font leur grand retour tandis que les nouvelles générations se réapproprient les tendances de notre adolescence. De quoi faire sourire les trentenaires nostalgiques, que l’impression persistante d’un saut dans le temps ne quitte plus.
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D’ailleurs, les plus jeunes ne s’arrêtent pas à l’habillement. Certains redécorent même leurs chambres de vieux posters et se laissent tenter par une parure de draps aux motifs léopard, tandis qu’ils découvrent avec délectation les premiers programmes de télé-réalité.
La Bensimon, star des plateformes de seconde main
Contre toute attente, un accessoire incontournable des années 2010 refait son apparition. Synonyme de cool, de simplicité et de fraîcheur, il se trouvait aux pieds de — presque – tous les adolescents de l’époque. Bleu, rouge, vert, jaune… la Bensimon existe en une multitude de coloris et séduit les fashionistas, notamment pour son prix abordable. Parmi elles, Cameron Diaz, Jane Birkin ou encore Sophie Marceau, qui les arborent fièrement et contribuent à la populariser auprès des fans.
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Flairant le bon coup, les utilisateurs assidus de plateformes de seconde main les remettent sur le devant de la scène. Bien qu’elles soient encore disponibles à la vente, certains coloris n’existent plus et deviennent ainsi des modèles rares. De quoi renforcer l’engouement autour de ces baskets pour lesquelles certains sont prêts à mettre des sommes importantes sur la table (jusqu’à quatre fois leur prix d’origine).
À l’époque victime de son succès, le créateur garde la tête froide. S’il reconnaît la popularité de ses chaussures, il déclare : « Mes vêtements sont faits pour se marier à d’autres. […] Je ne crois pas qu’il y ait des femmes qui adoptent le total look Bensimon ».