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À 60 ans passés, le physique de Sophie Davant choque ses fans : son nouveau corps déchaîne les esprits

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On ne présente plus Sophie Davant. Son simple nom suffit à illuminer le visage de ses nombreux fans, tant elle occupe une place particulière dans le paysage audiovisuel français. Pendant plusieurs années, lorsqu’elle officiait à la présentation de la météo, elle faisait littéralement la pluie et le beau temps sur Antenne 2, marquant toute une génération par son professionnalisme et son naturel.

Très vite, son potentiel, son assurance à l’écran et sa motivation inébranlable ont attiré l’attention de la direction, qui lui a confié des projets bien plus importants. Et force est de constater que la magie a encore une fois opéré, puisqu’elle a réussi à pulvériser des records d’audience, prouvant qu’elle avait toute sa place parmi les visages incontournables du petit écran.

En plus de récolter, chaque année, les confidences des malades dans le mythique Téléthon — un moment fort où elle se distingue par son empathie et sa capacité à instaurer un climat de confiance — elle a montré aux téléspectateurs qu’elle avait plus d’un tour dans son sac.

Ainsi, jusqu’à la rentrée 2017, elle a accompagné au quotidien les passionnés de brocante et les Français dans une émission devenue emblématique. Avec son ton bienveillant, son écoute et son enthousiasme, elle a su créer un véritable rendez-vous réconfortant pour le public.

Or, que ce soit en coulisses ou dans les loges, la pétillante Sophie Davant est aussi une perfectionniste assumée. Toujours impeccable, soigneusement maquillée et élégamment habillée, elle donne l’impression de ne rien laisser au hasard. Et cette exigence, loin d’être pesante, parvient au contraire à insuffler de l’énergie et de la confiance à toute son équipe, qui la voit comme un moteur indispensable.

Aussi, elle vient de se confier à nouveau, cette fois sur un sujet plus intime : son rapport à la chirurgie esthétique. Traumatisée par un épisode chaotique qu’elle n’a pas oublié, elle a choisi de partager ce mauvais souvenir avec les auditeurs de RTL. Au lieu de fermer la porte et de bannir définitivement ce type d’intervention de son esprit, cette femme résiliente a préféré livrer son point de vue avec une transparence rare. Sans filtre, elle raconte, explique, et permet à chacun de comprendre son cheminement personnel face à ces pratiques qui suscitent tant de débats.

Sophie Davant, ce moment où tout a failli basculé

Grâce à nos amis de l’INA, nous avons retrouvé une photo de Sophie Davant lors de son tout premier passage devant les caméras. Une véritable madeleine de Proust pour ceux qui la suivent depuis ses débuts. Et ce qui frappe immédiatement, c’est à quel point le temps semble glisser sur elle sans laisser la moindre trace.

Son regard bleu pétillant, son sourire d’ange et cette présence chaleureuse qui la caractérise déjà… tout y est. En la comparant à aujourd’hui, on a presque l’impression que les décennies n’ont aucune prise sur elle. Elle traverse les années avec une élégance et une fraîcheur qui forcent l’admiration, et n’a vraiment pas de quoi rougir de cette évolution.

Cependant, derrière cette image contrôlée et cette carrière exemplaire, il y a parfois des moments beaucoup moins glamour. Lors d’une banale visite d’ordre professionnel, rien ne s’est déroulé comme prévu. De son propre aveu, elle souhaitait simplement obtenir des informations complémentaires auprès d’un médecin travaillant dans une clinique spécialisée. Une consultation classique, sans enjeu particulier, juste pour en savoir un peu plus et satisfaire sa curiosité.

Or, au lieu de répondre calmement, avec des explications claires et compréhensibles par monsieur et madame Tout-le-Monde, le praticien a choisi une approche pour le moins surprenante. Il lui a proposé de passer de la théorie à la pratique. Une suggestion inattendue qui l’a complètement déstabilisée. « Je n’avais pas du tout envisagé ça.

Et moi, comme je suis un peu foldingue, je me dis : ‘pourquoi pas’. » Cette phrase, prononcée avec son humour habituel, montre à quel point la situation a basculé en quelques secondes, la laissant face à un choix impulsif qu’elle n’avait absolument pas anticipé.

Pas du tout habituée à ce genre d’intervention, Sophie Davant a très vite compris que le résultat n’était absolument pas à la hauteur de ses espérances. Elle, qui avait simplement accepté par curiosité et avec une pointe de spontanéité, s’est retrouvée face à un miroir qui la renvoyait une image totalement déformée d’elle-même.

Avec le recul, elle n’hésite pas à employer des mots forts pour décrire cette vision cauchemardesque : son visage ne lui ressemblait plus. Cette fameuse « bouche de canard », comme elle l’appelle aujourd’hui sans détour, lui a provoqué un véritable choc émotionnel.

Ce moment, profondément marquant, l’a laissée désemparée. Elle explique à quel point elle s’est sentie vulnérable, presque trahie par ce geste impulsif qu’elle n’avait pas mesuré. Et la panique n’a fait qu’augmenter lorsqu’elle a réalisé qu’elle devait rentrer chez elle, retrouver son ex-compagnon et leurs deux enfants.

Plutôt que de risquer les regards surpris, les questions embarrassantes ou même les moqueries bien involontaires de ses proches, elle a préféré « raser les murs ». Une expression qui dit tout : elle voulait se faire la plus discrète possible, éviter d’être vue, tant elle redoutait d’affronter les réactions de ceux qui la connaissent le mieux.

Ce souvenir reste gravé comme l’un des pires moments de son rapport à l’esthétique, une expérience qui l’a durablement marquée.

Et le lendemain, pas question pour elle de poser une journée de congé ou de se cacher : elle devait assurer son rôle et raconter, en direct, les retombées de cette fameuse visite. Malgré la gêne encore vive et le choc émotionnel de la veille, Sophie Davant s’est rendue comme prévu sur le plateau de la matinale culte Télématin.

Dès son arrivée, elle a dû affronter les remarques, parfois taquines, de son ancien mentor William Leymergie ainsi que celles de ses collaborateurs. Leurs réactions mêlaient surprise, amusement et incrédulité, ce qui n’a évidemment pas facilité sa matinée déjà particulièrement éprouvante.

Fort heureusement, malgré son malaise intérieur, elle a réussi à garder le contrôle. Face à la caméra, elle a assuré avec le professionnalisme qu’on lui connaît, parvenant à masquer ses doutes et à transformer ce moment délicat en une anecdote presque maîtrisée. Cette capacité à tenir bon dans la tempête, à faire bonne figure même lorsqu’elle se sent fragile, confirme à quel point elle est une véritable femme de télévision, rompue à toutes les situations.

Ensuite, avec une pointe de second degré qui la caractérise, elle a tenu à rappeler que les réseaux sociaux n’existaient pas encore à cette période. Une précision qui fait sourire aujourd’hui, tant elle souligne la différence entre l’époque et notre monde hyperconnecté.

C’est l’évidence : à moins d’être un membre de son tout premier comité de soutien, retrouver des archives ou des passages de ce tournage épique relève désormais presque de la mission impossible ! Une chance inestimable pour elle… et un soulagement qui transparait encore dans son récit.

Sophie Davant cash sur le bistouri

Fin 2023, dans cet ouvrage très personnel, Sophie Davant distillait des conseils avisés à ses admiratrices de la première heure. Comme souvent lorsqu’elle se confie, elle l’a fait avec sincérité et transparence, souhaitant partager son expérience plutôt que donner des leçons. Ce livre, pensé comme un guide bienveillant, abordait sans détour les sujets qui préoccupent de nombreuses femmes : la confiance en soi, le rapport à l’âge, la manière d’accepter les transformations du visage au fil du temps.

Pour illustrer son propos et montrer qu’elle ne se cache pas derrière une image idéalisée, elle a alors révélé un secret bien gardé. « Tous les six mois environ, j’ai recours à des injections d’acide hyaluronique et de botox pour estomper quelques rides qui me donnent un air triste ou fatigué. » Une confession rare, d’autant plus touchante qu’elle émane d’une figure médiatique longtemps exposée aux critiques et aux jugements du public.

En partageant cela, elle voulait aussi rappeler que ces gestes ne sont pas synonymes de transformation radicale, mais qu’ils peuvent simplement aider à se sentir mieux dans sa peau. Une manière de dédramatiser ces pratiques, de briser certains tabous et de montrer qu’on peut en parler librement, sans honte ni secret.

Sur les ondes de RTL, où elle était invitée pour retracer sa belle carrière, Sophie Davant a accepté de tomber le masque avec une honnêteté désarmante. Loin de l’image parfaitement contrôlée qu’elle renvoie à l’écran, elle a choisi de se montrer telle qu’elle est, avec ses fragilités, ses choix et ses hésitations.

En plus des « injections » qu’elle évoque désormais sans tabou, elle a concédé qu’elle avait eu « aussi recours à la chirurgie esthétique ». Une révélation importante pour celle qui a longtemps porté, comme beaucoup de femmes médiatisées, le poids du regard des autres.

Attention cependant : qu’on ne compte pas sur elle pour entrer dans les détails ou préciser la localisation de ces interventions, même face aux questions d’Éric Dussart et de Jade. Très clairement, Sophie Davant assume ce qu’elle souhaite partager, mais elle trace une limite nette entre transparence et vie privée. Elle préfère garder pour elle certaines informations, refusant de transformer son corps en sujet de débat public.

Ce qui transparaît surtout, c’est son apaisement. Aujourd’hui, elle semble plus épanouie que jamais, plus en accord avec son image, comme si elle avait enfin trouvé l’équilibre entre ce qu’elle accepte de montrer et ce qu’elle préfère protéger. Cette réconciliation avec elle-même lui donne une nouvelle force, perceptible aussi bien dans sa voix que dans son attitude.

Par contre, Sophie Davant a tenu à apporter des nuances très importantes concernant l’usage « excessif » de ce genre d’interventions. Avec son expérience et son regard lucide sur le milieu médiatique, elle souligne que « quand les visages changent au point qu’ils deviennent méconnaissables », cela relève du véritable gâchis. Selon elle, il existe une frontière évidente entre s’offrir un petit coup d’éclat pour se sentir mieux et se lancer dans des transformations radicales qui effacent l’identité même d’une personne.

Avant de se jeter à l’eau, elle a rappelé avec force, lors de son passage au Buzz TV, qu’il est essentiel d’apprendre à faire la paix avec ses petits défauts. Elle insiste sur l’idée qu’on ne doit pas chercher à se métamorphoser pour répondre aux standards imposés, mais plutôt essayer d’accepter les signes naturels du temps. Un discours qui contraste avec l’hyper-perfection souvent affichée sur les réseaux sociaux et qui fait du bien à entendre.

Selon elle, la démarche doit toujours être réfléchie, et même accompagnée. Elle recommande par exemple de prendre le temps de consulter un psy lorsque les motivations semblent floues ou émotionnelles. « Si c’est pour réparer des blessures intérieures, ça ne va pas marcher », affirme-t-elle avec conviction. Pour elle, vouloir effacer une douleur interne par une modification physique ne peut mener qu’à de nouvelles frustrations.

Sans désigner de stars en particulier, elle ne cache pas son malaise face à certaines personnalités qui n’assument pas leur date de naissance et cherchent à se transformer au point de devenir méconnaissables. Elle avoue avoir beaucoup de mal avec celles qui affichent « une bouche ou des pommettes énormes », un rendu qu’elle juge caricatural et loin de l’élégance naturelle qu’elle prône.

Un constat sans appel

Dans le premier numéro de son magazine dédié aux femmes de sa génération, la sexagénaire a tenu à rédiger une chronique entièrement consacrée à ce sujet qui lui tient à cœur. Avec la maturité et la sagesse que lui ont apportée des années de carrière sous le regard du public, elle y partage une réflexion profonde sur l’image de soi et le rapport au vieillissement.

« Nos rides racontent notre histoire, nos rires comme nos chagrins. Les accepter, c’est aussi rendre hommage à tout notre vécu », écrit-elle avec beaucoup de sensibilité. Ces mots, simples mais puissants, résument parfaitement sa philosophie : le visage est le témoin d’un parcours, et chaque marque du temps possède une valeur symbolique.

Pour autant, elle ne prône pas un abandon total de toute démarche esthétique. Elle confie également : « En revanche, j’ai envie de rester agréable, fraîche et présentable. » Une déclaration d’une honnêteté rare, où elle reconnaît à la fois ses envies personnelles et la réalité de son métier. La télévision exige une certaine rigueur, une présentation soignée, et elle ne s’en cache pas.

Elle admet qu’il existe des excès, parfois difficiles à ignorer, mais refuse de diaboliser l’ensemble des techniques disponibles. Selon elle, « il ne faut pas condamner tout cet arsenal de techniques ». Bien utilisées, avec mesure et discernement, ces méthodes « peuvent vraiment aider à faire du bien au mental et préserver son estime de soi ». Un message équilibré, empreint de bienveillance, qui invite chacun à trouver sa propre voie entre acceptation et petit coup de pouce, sans jamais renier son identité.

D’ailleurs, Sophie Davant n’a pas hésité à dévoiler le nom de l’enseigne de cosmétiques qui, selon elle, a véritablement changé sa vie. Une rare transparence de la part d’une personnalité télévisuelle souvent sollicitée par des marques, mais qui choisit ici de citer un produit uniquement parce qu’il lui fait du bien. Dès qu’elle le peut, elle recommande chaleureusement les sérums de la gamme de produits de la marque SkinCeuticals, une référence renommée dans l’univers du soin de la peau.

Elle explique qu’elle aime particulièrement combiner deux formules complémentaires, afin d’obtenir un résultat optimal. « J’aime bien mélanger un qui contient de l’acide hyaluronique et un autre qui contient de la vitamine C », précise-t-elle. Cette association lui permet à la fois d’hydrater intensément sa peau et de lui offrir un véritable coup d’éclat.

En partageant cette astuce, elle ne cherche pas à se poser en experte, mais simplement à transmettre une découverte qui améliore son quotidien. Une manière supplémentaire de montrer que le bien-être passe aussi par de petits gestes simples, adaptés à ses besoins, et non par des transformations excessives.