Alexandra Rosenfeld frappée par une maladie rare : ses tristes confidences
L’ancienne Miss France, Alexandra Rosenfeld, a vu son quotidien être chamboulé après un diagnostic inattendu. Entre douleur, renoncements et nouvelles habitudes, elle raconte son combat contre la maladie.


Un diagnostic bouleversant
L’ex-Miss France, Alexandra Rosenfeld, a vu sa vie basculer un soir d’été en 2024. Sportive et adepte d’un mode de vie sain, elle se retrouve aux urgences, incapable de marcher en raison de douleurs intenses. Après un diagnostic, le verdict tombe : elle est atteinte d’une thrombose veineuse sévère. Une nouvelle qui la sidère : « Jamais je n’aurais imaginé faire une thrombose à 38 ans avec l’hygiène de vie que j’ai », confie-t-elle sur les réseaux sociaux.
Face à cette épreuve, Alexandra doit mettre un terme à plusieurs de ses activités sportives, notamment ses cours de yoga. Une décision difficile pour celle qui voyait le sport comme un élément central de sa vie : « Pourquoi moi ? Moi qui suis ultra-saine… ». Cette situation l’amène à se questionner sur son mode de vie, ses habitudes et l’idée préconçue selon laquelle certaines maladies ne toucheraient que des profils à risques spécifiques.


Une nouvelle manière de vivre
Après des mois d’adaptation, Alexandra Rosenfeld décide d’accepter la maladie et d’avancer. Refusant la pose de stents, elle doit désormais prendre des anticoagulants à vie pour éviter toute complication. Elle fait également une croix sur plusieurs sports, dont le yoga, à cause des contraintes physiques imposées par sa condition : « Je ne peux plus faire de grandes compressions de la hanche, quasi toutes les postures de yoga me sont interdites ».
Cependant, elle trouve du réconfort dans trois disciplines qu’elle peut encore pratiquer : la marche, la natation et le Pilates : « La course, je pourrais, mais ma jambe me fait vite mal… ». Grâce à ces nouvelles pratiques, elle apprend à écouter son corps et à adapter son activité physique sans se mettre en danger.
Sa relation avec son compagnon, le journaliste Hugo Clément, l’a aussi aidée à traverser cette période difficile : « J’ai mon compagnon qui s’est mis à faire du triathlon au moment où moi je ne pouvais plus marcher. À ce moment-là, je me suis dit : soit tu continues à te plaindre toute ta vie, soit tu fais avec et tu avances. » Cette prise de conscience l’a poussée à changer d’état d’esprit et à accepter sa nouvelle réalité.
Aujourd’hui, elle adopte une nouvelle vision de la vie. Malgré les difficultés, elle confie : « Cette maladie, presque, aujourd’hui, je lui dis merci ».
