Un ancien professeur balance sur Emmanuel Macron !
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À travers ses discours, Emmanuel Macron arrive bien souvent à faire taire les plus sceptiques. Des discours construits et réfléchis qui font du président de la République un grand orateur.
Une compétence que ses études littéraires lui ont certainement apprises. Mais pour un ancien professeur, Emmanuel Macron n’était pas du tout fait pour les lettres. Un avis partagé par le journaliste Christophe Barbier dans les colonnes de l’Opinion.
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Christian Monjou, ancien professeur d’Emmanuel Macron, balance sur son élève !
Emmanuel Macron n’a jamais caché son amour pour la littérature. Et pour cause, l’homme a suivi un parcours proche de la littérature et a même tenté de rejoindre l’Ecole normale supérieure. Mais pour Christian Monjou, ancien professeur d’Emmanuel Macron, l’homme politique n’était pas près pour ce genre d’études. Selon lui, l’actuel président de la République avait « une vie écartelée, schizophrénique » .
Une période compliquée pour Emmanuel Macron, qui tentait de se sortir Brigitte de la tête. Dans les années 2000, il décide de rejoindre l’Ecole Nationale d’administration à Strasbourg, considérée comme « une école d’imposteurs pour les normaliens qui y voient la superficialité, le grand cirque politico-médiatique. Bref, la traîtrise de moines défroqués » .
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« Il a vite compris qu’il ne serait jamais un grand littéraire »
Malgré son souhait de faire carrière dans la littérature, Emmanuel Macron a finalement choisi une autre branche : celle de la politique. « Il a vite compris qu’il ne serait jamais un grand littéraire. Par pragmatisme, par lucidité, il a vite bifurqué sur une autre voie. Pas question de rester médiocre » pense d’ailleurs son ancien professeur Christophe Monjou.
De son côté, Emmanuel Macron s’est livré sur sa vie et ses désirs en 2016, dans son livre Révolution. L’homme politique s’y décrit comme un grand rêveur qui voulait « agir et tenter de changer concrètement les choses » .
Terminé la rêverie littéraire, Emmanuel Macron a décidé de se lancer dans le droit. « Je m’orientai donc vers le droit, l’économie. C’est alors que j’ai choisi l’action publique » explique-t-il dans son livre.
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