Animatrice télé à Dijon : sa double vie glaçante va vous laisser sans voix
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Lisa Guyenne, la voix rassurante de France 3 Bourgogne, a pris tout le monde par surprise. Le week-end, elle troque tailleur élégant et studio TV pour une combinaison toute boueuse, casque vissé et frontale allumée. Ce contraste entre son rôle de journaliste et ses explorations souterraines intrigue et fascine.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, sachez que Lisa est une passionnée qui se distingue. Elle a découvert la spéléologie en 2023, poussée par un ami. Depuis, c’est un carnet de 80 sorties en moins de deux ans. Mais derrière cette passion, se cache une vraie aventure humaine, sportive et scientifique.
Le résultat ? Des images étonnantes : formations minérales spectaculaires, réseaux méconnus, cavités oubliées. En pleine spéléo, elle devient à la fois exploratrice, découvreuse et protectrice des milieux sensibles.
Un passé médiatique aux antipodes des cavernes
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Lisa est connue de tous en Bourgogne. À 30 ans, elle officie sur France 3 Bourgogne en tant que journaliste et présentatrice du journal régional. Souriante, bien coiffée, elle incarne le professionnalisme et la proximité avec son public. Pourtant, dès qu’elle quitte le plateau, tout change.
Lorsqu’elle enfile sa combinaison lourde, elle part explorer des cavités souterraines, parfois très étroites. Elle rampe, se contorsionne, progresse dans le noir absolu de conduits creusés par l’eau sur des millénaires. Ce contraste entre l’image lisse d’une présentatrice et l’aventurière souterraine captive et questionne.
Une passion profonde : entre technique, effort et respect
Lisa Guyenne ne se contente pas d’explorer : elle s’engage. Elle évolue souvent dans des galeries oubliées depuis des décennies. Elle aide à désobstruer des passages, franchit des trémies, se fraie un chemin dans la roche. C’est un engagement personnel, témoin du respect profond qu’elle porte à ces milieux.
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Elle connaît les fragilités des cavités : des stalactites qui se forment goutte après goutte, des écosystèmes sensibles. Elle suit les bonnes pratiques : on ne laisse rien derrière, on efface ses traces. De plus, elle participe aussi au repérage de nouvelles galeries, parfois fossiles, parfois actives.
