Thierry Lhermitte nu devant Marion Cotillard : ce « film hot » que personne n’imaginait
Dans la grande famille du cinéma français, Thierry Lhermitte a une place à part. En effet, à l’aise avec ses camarades du Splendid, il a également réussi à faire ses preuves en solo. De l’avis de ses admiratrices, il possède toutes les qualités pour jouer tous les rôles. Cependant, au début du second millénaire, un long-métrage a bien failli faire vaciller son précieux équilibre. A 20 ans d’intervalle, il a accepté de dévoiler les coulisses du tournage d’une séquence mythique !
Thierry Lhermitte, comme vous ne l’avez jamais vu !
Au printemps 2002, Thierry Lhermitte faisait la promotion du film Une affaire privée. Une fois n’est pas coutume, il avait accepté d’échanger son nez de clown comme un costume de détective privée. Or, à l’époque, deux de nos confrères n’ont hésité à mettre face à ses contradictions. Faisant allusion à une affiche où tous ses camarades, Ariane Massenet lui a demandé de plus amples explications. « C’est quoi cette histoire de film porno, Si vous n’aimez pas ça n’en dégoûtez pas les autres ? »
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Comme le sous-entend la photo ci-dessus, l’ensemble des membres du Café de la Gare a répondu présent. Sauf qu’aucun d’entre eux ne s’attendait à un tel rebondissement. Plus que jamais, l’objectif du réalisateur était de faire une expérience. Filmer ses acteurs lors de la projection d’un film pour adulte. En ce qui concerne l’affiche, elle est déjà collector pour les fans de Thierry Lhermitte. « On a essayé de faire quelque chose parce que ça craignait sérieux… »
Une fois revenu à l’actualité, Thierry Lhermitte a fait un constat sans appel. Apparaissant tout nu quelques secondes, il a précisé qu’il n’avait pas ressenti la moindre gêne. « C’est ni pour faire joli, voyeur ou moche». D’ailleurs, sa complicité avec ses partenaires, mais également avec l’équipe technique l’ont aidé à franchir le pas !
Qu’on se le dise, le lieu du tournage était tout sauf anodin. Présente dans un club échangiste, la troupe a du s’adapter. « Les figurants étaient les clients habituels. Ils étaient contents de venir gratuitement, puisqu’on payait les consommations. Il y avait une dame, en pleine action. Tout en continuant son activité, elle me demande si je peux lui faire un autographe pour ses enfants !» De quoi le marquer de manière indélébile !
