« Un vide abyssal » : Brigitte Bardot dévastée par la mort d’Alain Delon
Proche d’Alain Delon, Brigitte Bardot a fait part de sa peine dans un message manuscrit envoyé à l’AFP.
Alain Delon nous quitte de façon brutale
Alain Delon est décédé. Une nouvelle qui a fait l’effet d’une bombe dans le milieu du cinéma. Car, si l’on savait l’acteur diminué, rien ne laissait présager qu’il passerait l’arme à gauche si tôt. D’autant qu’il était apparu en forme dans un post Instagram publié par son fils Anthony. Une touchante discussion père fils durant laquelle ils ont épilogué plusieurs minutes sur les qualités de son ex-femme, Nathalie Delon.
Mais alors que les regards se détournaient du clan Delon, la triste nouvelle tombe. Un coup dur qui vient accabler davantage cette famille qui se déchire depuis plusieurs mois maintenant. Peut-être est-ce dans la tristesse que frères et sœur vont revenir à de meilleurs sentiments… En attendant, ils tentent d’affronter chaque jour l’immense tristesse qui les accable.
Et ils ne sont pas les seuls pour qui cette mort est un coup de massue. Certains acteurs et actrices de sa génération peinent à réaliser. C’est le cas de Brigitte Bardot.
Brigitte Bardot, anéantie par le décès d’Alain Delon
De leurs rencontres aux soirées mondaines naît une grande amitié. Pour cause, les deux acteurs partagent les mêmes valeurs et une passion commune : l’amour des animaux. Un élément qui n’a pas manqué de charmer la jolie blonde qui a vu en lui un « alter ego ».
Triste, elle a fait parvenir un hommage manuscrit à l’AFP. Une note que l’agence a diffusée auprès des médias nationaux. Elle y affirme que la mort d’Alain Delon « creuse un vide abyssal que rien, ni personne, ne pourra combler ». « Alain, en quittant ce monde, clôt un magnifique chapitre d’une époque désormais révolue, dont il est une figure emblématique ».
« Il incarnait ce qu’il y avait de mieux dans le cinéma prestige français. Un véritable ambassadeur de l’élégance, du talent et de la beauté », écrit-elle encore. Et la défenderesse des animaux de conclure : « Je perds un ami, un alter ego, un complice. Nous partagions les mêmes valeurs, les mêmes désillusions, et le même amour pour les animaux. À voir ce que l’on fut sur cette terre et qu’on laisse, Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse ».