Découvrez la méthode de torture en mer la plus violente de la Renaissance !
On ne va pas se mentir, la torture fait partie intégrante de notre histoire, aussi barbare soit-elle. D’ailleurs, les historiens en ont tout un catalogue. Certaines pratiques sont très populaires et d’autres franchement tordues ! C’est le cas du Keelhaul qui est l’équivalent d’un massage au papier de verre, sauf que la scène se déroule en pleine mer. On vous en dit plus !
Un catalogue de la torture humaine !
L’histoire humaine n’a pas toujours été tendre. Elle regorge de pratiques violentes et de tortures inimaginables. Chaque époque semble avoir inventé son propre supplice. Parfois pour punir, parfois pour effrayer. Et souvent, juste pour montrer qui commande !
Le scaphisme est l’un des pires exemples. Les bourreaux enferment le corps de leur victime avant de la nourrir, jusqu’à ce que des insectes viennent la dévorer. Une torture lente, sale et cruelle. D’autres méthodes sont tout aussi terrifiantes. Comme le taureau d’airain, où l’on cuisait les gens vivants !
En Angleterre, on aimait les spectacles sanglants. Le pendu, tiré et écartelé était une punition publique. Le but : faire peur à tous les témoins. La douleur devenait un outil politique et la torture, une mise en scène !
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Ces pratiques nous semblent aujourd’hui inhumaines. Pourtant, elles ont marqué des siècles entiers. Elles montrent jusqu’où l’homme peut aller pour dominer. La torture n’était pas seulement physique. Elle était aussi sociale, symbolique et parfois… tragiquement créative.
Le keelhaul : une pratique atroce en mer !
La torture ne s’arrêtait pas aux cachots. En mer, les marins avaient leurs propres méthodes pour punir les plus indisciplinés dans leur équipage. Le keelhaul, qu’on appelle aussi le passage sous la quille, en est un exemple terrifiant. Ce supplice consistait à traîner un homme sous la coque d’un navire. Et ce n’était jamais une balade tranquille !
La victime était attachée avec une corde solide. On la jetait d’un côté du bateau, puis on la tirait sous l’eau. Le fond du navire, qui n’est autre que la quille, était couverte de coquillages tranchants et le bois rugueux déchirait la peau. Pire, l’eau salée brûlait chaque plaie !
Le risque de noyade était énorme. Le corps ressortait lacéré, parfois méconnaissable. Certains mouraient sur le coup et d’autres survivaient… pour subir une série de coups de fouet. Comme ce marin néerlandais qui reçut 150 coups après son keelhaul !
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Ce type de torture servait d’exemple. On le pratiquait rarement, mais toujours devant témoin. L’objectif était clair : dissuader toute rébellion. Un message brutal qui s’adressait à tout l’équipage.
Remise en question sur la torture !
Le passage sous la quille fait frissonner rien qu’à l’imaginer. Pourtant, certains doutent de son existence. En effet, les preuves historiques sont rares et parfois floues. Des récits existent, mais manquent de détails fiables. La torture en mer pourrait bien être en partie légendaire.
Certains historiens parlent d’exagérations et disent que les témoignages sont souvent indirects ou contradictoires. On ne sait pas combien de fois les différents équipages ont pratiqué le keelhaul. Peut-être était-ce plus une menace qu’un acte réel. Une torture brandie pour effrayer, sans forcément être appliquée !
On aurait tout de même documenté quelques cas. Deux marins néerlandais auraient été keelhaulés en 1673. Un autre aurait subi le supplice, puis reçu 150 coups de fouet. Mais là encore, les sources sont discutables. En tout cas, c’est un grand soulagement de réaliser que ces tortures sont maintenant des pratiques anciennes. Imaginez ne serait-ce qu’un peu subir l’une de ces pratiques terrifiantes…