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Hospitalisation, crise d’angoisse… Jessica Thivenin balance sur les coulisses des Marseillais

Publié par Claire JONNIER le 22 Fév 2019 à 15:03

Depuis son passage dans l’émission de télé-réalité Les Marseillais, la vie de Jessica Thivenin a radicalement changé. Et entre souvenirs et nostalgie, elle nous en apprend un peu plus sur les coulisses de l’émission.

 


 

Jessica Thivenin se confie dans son livre

A 29 ans, Jessica Thivenin est une jeune femme épanouie. Grâce au succès récolté dans l’émission Les Marseillais, elle profite aujourd’hui de la vie dont elle a toujours rêvé. Pourtant, tout n’a pas été rose. D’ailleurs, dans son livre autobiographique C’est tout moi, elle revient sur quelques incidents qui ont émaillé le tournage de l’émission.

 

« Sur chaque tournage, Julien Tanti se faisait un bobo et allait à l’hôpital à un moment ou un autre. Paga, quant à lui, a été déshydraté sur un des tournages. Moi, j’ai été hospitalisée deux fois pour des problèmes médicaux pas graves mais qu’il fallait traiter tout de suite, a-t-elle expliqué. Il m’est arrivé aussi de faire une crise d’angoisse (…) En effet, je ne dormais plus, je n’arrivais plus à tenir le rythme du tournage. Je buvais deux cafés le matin, plus deux canettes de boisson énergisante. Arrivé le soir où je devais parler devant la caméra toute seule, mon coeur me faisait mal. Ils ont arrêté de tourner aussitôt pour m’emmener à l’hôpital. Ça s’est passé lors de l’émission à Marbella contre le reste du monde ».

 

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« Arrivé le soir où je devais parler devant la caméra toute seule, mon coeur me faisait mal »

 

Jessica Thivenin revient sur ses meilleurs moments

Mais outre les accidents et petits bobos, Jessica Thivenin revient également sur des moments forts dont la plupart se sont déroulés hors caméra. Par exemple, elle explique qu’en 2015, en Thaïlande, les candidats se sont pris d’un coup de folie et ont décidé de « faire le mur ».

 

« La production pensait qu’on allait se reposer pour être en forme pour le dernier jour. Sauf que nous avions la ferme intention de fêter dignement la fin du tournage. Seuls quatre d’entre nous préféraient rester. Alors ils ont fait diversion pour attirer les caméras. Nous avions mis des polochons et des oreillers dans nos lits pour faire croire qu’on dormait et on est partis de la villa par un petit chemin discret » 

 

« Tout à coup, alerte rouge, la grande boss de la production nous appelle l’un après l’autre. On décide de tous se mettre en mode « avion » (…) Nous étions heureux comme des gamins qui ont joué un bon tour à leurs parents. »