Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Vidéos

« Je propose une taxe anti-Zemmour » : cette idée d’un député Nupes qui n’a pas manqué de faire jaser ! (vidéo)

Publié par La rédaction le 08 Oct 2022 à 19:39
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Bien assis sur sa chaise, sa paire de lunettes sur le nez et un nœud de cravate impeccable : Benjamin Lucas était sur son 31 à l’occasion d’un rassemblement pour établir le budget français pour l’année 2023. Ce député Nupes, donc de gauche, a pourtant, à cette occasion, souhaité proposer une nouvelle forme de rentrée d’argent pour l’État. Et non des moindres… En effet, la vidéo qui suit nous montre qu’il s’agit tout bonnement… d’une « taxe anti-Zemmour » !

La taxe anti-Zemmour, du pain béni pour les finances françaises ?

Et si Eric Zemmour finissait quand même par être utile aux Français et à l’État ? En effet, réunissant plusieurs députés de l’Assemblée Nationale, la commission des Finances pour le budget français de 2023 a vu Benjamin Lucas, élu Nupes, proposer une nouvelle forme de taxe. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas manqué d’attirer l’attention de tous les médias…

« Cet amendement pourrait s’appeler la taxe anti-Zemmour. En effet, je propose de passer de 5,5% à 90% la taxe sur les éditeurs de télévision en cas de diffusion des propos d’une personne physique ayant été condamnée », explique ainsi le député Nupes, n’hésitant pas à pointer du doigt le candidat surprise et polémique de la dernière présidentielle. Mais quels sont donc les condamnations auxquelles il fait référence ?

benjamin lucas taxe anti-zemmour

Benjamin Lucas, député Nupes.

Abonnez vous à la Newsletter TDN

Empêcher la diffusion de certaines personnalités à l’antenne

En réalité, Benjamin Lucas souhaite punir les médias qui, sur leurs antennes, dans leurs journaux ou en ligne, donneraient une visibilité à des personnes ayant eu une condamnation pour « incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination ». Autrement dit, des personnes qui, clairement, s’inscrivent aux côtés d’Eric Zemmour, déjà condamné, lui, pour des faits similaires.

Évidemment, voir son nom cité dans cette proposition d’une « taxe anti-Zemmour » allait forcément provoquer la réaction du principal concerné : « Des taxes, du déni, de la censure… Toute la gauche en une mesure ». De la politique… et de la vraie !