À 48 ans, elle devient enfin maman, après 18 fausses-couches
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Louise Warneford vit aujourd’hui dans une belle et grande famille recomposée. Mais à 48 ans, elle pensait pourtant finir sa vie sans enfant. C’était sans compter sur le petit miracle de la vie. Après 18 fausses-couches et malgré la stérilité de son mari, elle finit par accoucher du petit William.
Le couple tente la fécondation in vitro
Louise Warneford habite à Swindon, en Angleterre, avec son mari qui a subi une vasectomie. Il s’agit d’une opération vise à « stériliser » l’homme. . Son mari, Mark, avait subi cette opération avant de la rencontrer et après avoir déjà eu un fils lors de sa précédente union. Malheureusement, Louise n’a jamais eu d’enfant et c’était son rêve. Ils ont alors eu l’idée d’avoir recours à la fécondation in vitro. Pendant des années Louise est allée se faire inséminer à l’Unité d’immunologie reproductive du docteur Hassan Shehata. Ils auront dépensé près de 90 000 euros en opérations.
Elle enchaine les fausses-couches
Malheureusement, chaque insémination finissait en fausse-couche. Au total, elle aura fait 18 fausses-couches. « Chaque fois que j’ai eu un espoir, que je pensais que c’était bon et que j’allais avoir la famille parfaite que j’avais toujours voulue et bien, je ne pouvais pas m’arrêter de pleurer chaque fois que je me trompais. C’était un mystère pour moi de comprendre pourquoi mon corps a continué de rejeter mon bébé à seulement quelques semaines, et c’était déchirant à chaque fois », a-t-elle expliqué au journal The Sun.
Finalement, William est arrivé
Mais ils n’ont jamais perdu espoir, et la dix-neuvième fois fut la bonne. L’accouchement de Louise a été provoquée à la 37ème semaine de grossesse par césarienne. Malgré la naissance prématurée, le petit William est né en bonne santé. Âgé de 18 mois, il se porte à merveille. En plus, la famille n’a pas fini de s’agrandir, puisque le premier fils de Mark est lui aussi devenu papa.
