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« Fabrice est parti cette nuit » : Céline Saffré (Familles nombreuses) maman solo de ses dix enfants

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Révélée par Familles nombreuses, la vie en XXL, Céline Saffré partage régulièrement les coulisses de sa tribu sur Instagram. Dans leur grande maison de Gironde, la fratrie aligne les prénoms et les âges, et surtout un emploi du temps millimétré. Entre les devoirs, les trajets et les petits bobos du quotidien, l’organisation est devenue un réflexe, presque une seconde nature pour cette maman connue du public.

Au fil des stories, les abonnés ont appris à reconnaître les petites routines qui font tenir la maison. Les cartables rangés la veille, les chaussures alignées près de la porte, le repas qui mijote pendant que les derniers finissent leur dictée. Chez les Saffré, le rythme est soutenu mais le ton reste bienveillant, avec cette complicité qui a séduit les téléspectateurs du programme.

Dix enfants, une mécanique bien huilée

La fratrie emmenée par Céline et Fabrice Saffré compte dix enfants. Les aînés épaulent les plus jeunes, chacun a ses habitudes et ses missions du soir. Les plus grands vérifient les cahiers, les plus petits préparent le cartable avec l’aide de la maman, les intermédiaires mettent la table et ramassent les jouets. Derrière ces gestes simples se cache une partition répétée mille fois qui rend le quotidien possible.

C’est d’ailleurs ce sens de l’organisation qui a fait la réputation du clan. Sur les réseaux, les messages de soutien affluent, souvent de la part d’autres parents. Beaucoup saluent la capacité de la famille à garder le sourire malgré les imprévus. D’autres viennent y chercher des idées pour optimiser leurs propres fins de journée. Chez les Saffré, l’organisation XXL est plus qu’un mot, c’est un art de vivre.

Une annonce qui change tout, même pour quelques jours

Ce lundi 6 octobre 2025, Céline Saffré a partagé une information qui bouleverse, au moins temporairement, l’équilibre de la maison. En story, elle explique que Fabrice a quitté le foyer. Une phrase qui peut surprendre au premier regard, tant on imagine tout de suite les scénarios les plus sombres. En réalité, le contexte ramène vite chacun à la situation concrète qui se présente.

Car chez les Saffré, comme dans beaucoup de foyers, la vie professionnelle impose parfois son calendrier. Le père de famille est très investi dans ses responsabilités de dirigeant. Son activité implique des déplacements, parfois lointains, qui ne se décident pas du jour au lendemain. Cette fois, l’échéance tombe en pleine semaine scolaire, avec son lot d’obligations côté maison.

Les émotions derrière la logistique

Dans son message, Céline Saffré confie que le plus difficile n’est pas forcément de gérer les dix enfants. La maman, habituée à coordonner les tâches, sait tenir la barre en cas de houle. Ce qui pèse réellement, c’est l’absence de l’autre parent. La maison paraît plus grande le soir, les heures plus longues, les bruits plus lourds à faire taire quand tout le monde s’endort.

C’est une réalité que beaucoup de familles reconnaissent. Peu importe la taille du foyer, l’éloignement du conjoint laisse un vide qui n’est pas qu’une question d’organisation. On se surprend à regarder l’heure plus souvent, à rafraîchir les messages, à espérer les nouvelles entre deux réunions. Ici, la maman décrit précisément ce mélange d’inquiétude et de patience, cette façon de compter les jours et de se rassurer en cochant les cases.

Augustin, la santé d’abord

Au milieu de tout cela, un prénom revient avec douceur et vigilance : Augustin. Le petit garçon a vécu récemment un épisode délicat, une détresse respiratoire qui a conduit à une hospitalisation puis à un retour à la maison sous surveillance. Après les examens et le traitement, les médecins ont recommandé du repos. À cet âge-là, on retrouve vite l’énergie, mais il faut apprendre à la canaliser.

Pour Céline, la question est simple : reprendre l’école tout de suite, ou prolonger le repos pour éviter une rechute ? Avec Fabrice en déplacement, la décision engage toute l’horloge familiale. Garder Augustin près d’elle signifie réaménager la journée au cordeau, organiser les siestes au bon moment, caler les allers-retours pour les frères et sœurs autour des temps calmes du petit. La santé passe avant tout, mais l’équation demande une attention de chaque instant.

Des jours à tenir, des soirées à alléger

D’ici la fin de semaine, l’objectif est clair : éviter les embouteillages émotionnels. Pour y parvenir, la maman mise sur les fondamentaux. Anticiper les repas, répartir les tâches, limiter les imprévus en gardant une marge de manœuvre pour les urgences. Le mot d’ordre n’est pas la perfection, mais l’équilibre. À la maison, chacun connaît la partition : le bain qui n’attend pas, le pyjama qui rassure, l’histoire du soir qui clôt les journées trop longues.

Les aînés deviennent précieux, pas pour remplacer les parents, mais pour fluidifier les gestes. Ranger un peu plus, rappeler un horaire, proposer un coup de main pour une paire de lacets récalcitrante. Ce sont ces petits renforts qui, mis bout à bout, font gagner l’énergie qu’on n’a pas.

L’épreuve douce d’une semaine sans lui

Il y a dans ce moment un sentiment très partagé par les familles qui vivent les déplacements professionnels. On apprend à ménager sa fatigue, à garder de la place pour le coup de fil du soir, à ne pas remplir les journées de mille objectifs. On accepte de laisser quelques poussières sur la commode, un panier de linge en attente, une plante qui réclame de l’eau, parce que l’essentiel est ailleurs.

Céline le dit à sa manière : le plus dur n’est pas la logistique, c’est le manque. Il y a ce geste qu’on ne peut pas déléguer, celui de se retourner vers l’autre pour partager un regard, une plaisanterie, un soupir à la fin de la journée. Alors on compte les réveils, on se promet de se ménager, on annote le calendrier. Et on sait que le retour aura ce goût simple, celui des habitudes retrouvées.

Ce que les abonnés retiennent

Au fond, les abonnés n’attendent pas de miracle. Ils viennent chercher une présence, une manière d’aborder les choses sans dramatiser, mais sans minimiser non plus. Ce qu’ils trouvent chez Céline Saffré, c’est cette authenticité qui refuse les messages trop lisses. Les jalons posés sont concrets, les mots choisis ne mentent pas sur la fatigue ni sur l’émotion.

Dans Familles nombreuses, les téléspectateurs ont appris à connaître le couple formé par Céline et Fabrice. Ils savent l’importance du binôme pour faire tourner la maison. Ils savent aussi combien quelques jours peuvent paraître longs quand on les traverse seul. La force du message tient justement à cette vérité du quotidien.

C’est à la toute fin de ses stories que la maman a glissé la précision essentielle. “Fabrice est parti cette nuit”… pour un déplacement professionnel d’huit jours. Pas de crise, pas de rupture, pas de coup de théâtre, mais une parenthèse imposée par le travail. Et cette phrase qui résume tout : “Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le plus compliqué à gérer n’est pas les 10 enfants mais bien l’absence de sa moitié.” Une semaine à tenir, puis le soulagement du retour à la maison.