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Élisabeth Borne sur un siège éjectable ? Seule contre tous, elle serait au plus mal à Matignon

Publié par La rédaction le 16 Juin 2022 à 8:32
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La vie de femme politique avec une image aussi médiatisée n’est clairement pas un long fleuve tranquille… Après seulement quelques semaines dans son costume de Première ministre du gouvernement d’Emmanuel Macron, Élisabeth Borne se trouve déjà dans une situation plus que délicate. Manque de caractère ? Possible. Et à l’heure du duel face à la Nupes pour le second tour des législatives, il va falloir sortir les griffes !

Élisabeth Borne déjà critiquée

Entre la Première ministre, Élisabeth Borne, et ses opposants, le torchon commence déjà à brûler. Avoir un tel poste au gouvernement n’est pas chose facile. Et l’ancienne ministre l’apprend désormais plus que jamais à ses dépends. En place depuis désormais plusieurs semaines, la nouvelle cheffe du gouvernement essuie de nombreuses critiques voilà maintenant plusieurs jours.

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En effet, les élections législatives ont apporté une fenêtre parfaite aux représentants de la Nupes, plus gros concurrent des candidats du parti présidentiel. Pire encore : les réticences commenceraient à venir… de son propre camp. « Des voix, en interne, commencent à cogner sur elle alors qu’elles ont tout fait pour l’installer à Matignon il y a un mois », commente notamment l’un des ministres actuellement en poste. Et si Élisabeth Borne se retrouvait déjà seule… contre tous ?

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Le second tour des législatives aura le dernier mot

Ce dimanche 19 juin, Emmanuel Macron saura s’il obtient la majorité présidentielle, ou non. Et pour Élisabeth Borne, ce verdict pourrait très probablement déterminer si son avenir continue de s’écrire en tant que Première ministre.

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« Si on n’a pas de majorité, ça ce sera ingouvernable. Elle va vivre un véritable enfer », explique une source proche travaillant au quotidien au sein du gouvernement mis en place il y a plusieurs semaines. Nul doute que même si elle apparaît sereine à l’extérieur, la Première ministre doit actuellement être très fébrile. Le plus dur semble avoir commencé…

Source : Le Parisien