Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Actualité

« 95 euros pour 2 km » : Les taxis font s’envoler les prix

Publié par Felix Mouraille le 03 Juin 2022 à 13:24
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Ce mardi 31 mai, Roland-Garros abritait la rencontre entre deux légendes du tennis : Nadal-Djokovic. La partie était en « night-sessions » et s’est finit après une heure du matin. À cette horaire-là, plus aucun métro n’est disponible, certains taxis en ont donc profité pour gonfler les prix.

Roland-Garros : la patience des spectateurs mise à l’épreuve

Rafael Nadal et Novak Djokovic ont fait durer le suspens en quart de finale de Roland-Garros. Un match de 4h12 qui a fini à 1h15. Cette heure tardive n’a pas permis aux milliers de spectateurs de rentrer en transport en commun, les services étant terminés. Dans cette nuit de mardi à mercredi, le match était légendaire mais les coûts du transport aussi.

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Cette fin de match a fait les affaires des taxis et des VTC. Sur RMC Sport, un auditeur raconte que les chauffeurs ont été pris d’assaut pendant plus d’une heure. Un journaliste du Times s’est aussi confié sur cette folie. « Plus d’une heure après le match et il y a encore des gens partout à l’extérieur du stade de Roland-Garros qui essaient désespérément de localiser un taxi ou un Uber » .

« 95 euros pour 2 km » en taxi

Même si l’attente a été longue, c’est surtout le montant des courses qui a scandalisé les spectateurs de Roland-Garros. « Je viens de rentrer de Roland-Garros. Les taxis demandaient 95 euros pour faire deux kilomètres. Nous sommes revenus à pied ! » , a dénoncé un fan de tennis sur les réseaux sociaux.

Après le vrai manque d’organisation pour la Ligue des Champions, beaucoup, d’entre eux, ont remis en cause l’organisation du tournoi à Porte D’Auteuil. La directrice du tournoi, Amélie Mauresmo, a abordé le sujet en conférence de presse :

« C’est un point qui est clé et qui sera clé dans le futur. Là, on n’a pas prévu de chose particulière. C’est clair qu’on doit s’organiser autrement. Peut-être avec la ville de Paris pour pousser plus tard les métros ou les bus. Il faudra avoir une réflexion » .